[Oldies] Questions (vitesse 1947-1976)

Ah et puis zut à la fin : au moins ce coup-ci je suis sûr que c'est Augusto, euh Raul, non Adrian, enfin Ruben Fernandez. Ça te la coupe, hein ?

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C'est certainement Ruben, je reconnais les pneus à tétines.

Patrick, c'est le chouchou de tout le monde, non ? (Nan mais je dis ça parce que chaque fois que je le vois, même en pleine action, je souris. C'était pas un de vos chouchous à vous, hiboux genoux ?)

Le team Honda Europe 1960 ou figurent ,enfin ,les deux Tanaka!

Arriere plan: Yukio Sato,Kunimitsu Takahashi,Kenjiro Tanaka,Giichi Suzuki et Naomi Taniguchi.

Au premier rang: Sadao Fukuda,Sadao Shimazaki,Moto Kitano et Teisuke Tanaka.....


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Solitude 1960 250cc...Yukio Sato et derrière, le # 108 Kenjiro Tanaka qui va signer le premier podium Honda en finissant 3éme...


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Si je regarde dans « Honda motorcycle racing legend », Solitude 1960, 250, on trouve bien le même résultat que Pierre:
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Je suis persuadé qu’ils ne confondent pas les pilotes japonais et que si ils écrivent Teisuke Tanaka troisième en 250 à Solitude en1962 et bien: ils ont raison !
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Nan mais la cause est d'autant mieux entendue que je viens de plonger dans la lecture de Motor Cycle du 19 juillet 1962 (merci eul'b), où le rédacteur (quel article génial, entre parenthèses ! Ah les salauds !, ils savaient écrire), où, disais-je, le rosbif de service écrit en toutes lettres les prénom et nom de Teisuke Tanaka, largué par le duo de ses coéquipiers Taveri-Redman, et poursuivi par un hargneux Günter Beer à qui l'usine a prêté une 4. Teisuke est dit "their recalled Japanese team man", un rappelé, quoi. Il doit remplacer Moto Kitano mais je ne sais pas quelle avanie a frappé Moto (qui était inscrit à Assen et à Francorchamps, mais dont je n'ai pas trouvé encore trace dans ces courses).

J'avance donc farouchement, à la question "qui a terminé 3ème du GP d'Allemagne 250 1962 à la Solitude", ma réponse définitive (de la semaine) : Kanj-euh, Teisuke Kitano !

(Adco, le Marcel Schneider 6ème derrière Arthur Wheeler de ta jolie page de référence, est en fait Michael.)

Messieurs, ma question concerne un Français, et même un national, « un pilote peu connu » dit Moto Journal à son propos quand il en parle, une fois, lors du compte rendu (MJ 80, 27/07) du circuit de Tours du 30 juillet 1972, où ce gars « peu connu » fait 2ème derrière Patrick Fernandez dans la Nationale 125. Il a pour nom Journaux. Savez-vous son prénom ? L'avez-vous (Yves, Jack Colas, André, les autres) connu ?

(Et euh, attention... Ce MJ 80 du 27/07 qui parle d’épreuves ayant eu lieu le 30/07, il va falloir enquêter, mon p’tit Didi. Mais comme je n’ai plus la collec’ sous les yeux, je dois prier Patrick de le faire pour moi, en attendant la semaine prochaine.)

Est-ce Journeaux Jean-François du M.C. Auvergne?

Journaux, Journeaux ...... pour Moto-Revue ce serait Journeux !

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Merci au grenier de Janpol, comme d'hab ....

France Moto n° 52 et 53... faites vos jeux.  

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La presse nous donne Journeux, Journeaux, Journaux, et ajoute un F. en initiale du prénom.
Et berlu nous dégote (d'on ne sait où, hélas) un Jean-François Journeaux du MC Auvergne.

Par approximations successives, essais / erreurs, tâtonnements, on finira bien par atteindre à une certitude.

Merci les gars philippe7, tripotemascagne, berlu !

D'ici là, ce nom dit-il quelque chose à un de ses contemporains ici présents ?

Il est sur l'annuaire de la FFM en 1973.

Il a dû prendre sa licence nationale courant 1972.

Encore présent en 1974.

... Cré bondiou, j'avais relevé le Jean-François Journeaux dans F-M et ne l'avais pas rapproché de ce Journaux ; à vrai dire, je n'avais même pas vu que je l'avais relevé. Je suis une buse et il m'est désagréable de le constater.

... Et on le retrouve aux Trophées d'Hiver à Magny-Cours (cf. Moto Revue 2099 du 17/11 pour le compte rendu) où il termine cinquième de la course des 125, inters et nationaux mêlés, derrière Tchernine, Fernandez, Michel Garnier et Charly Charrier. (Et je l'avais affublé du prénom Jean-François. Ah mais j'avais écrit Journeaux - comme M-R, tandis qu'hier, je cherchais Journaux - comme un con.)

berlu a écrit:

Il est sur l'annuaire de la FFM en 1973.
Il a dû prendre sa licence nationale courant 1972.
Encore présent en 1974.

Et berlu ajoute le dernier clou à mon cercueil (car j'ai lu de mes yeux lu les annuaires de ces années-là hier.)

Désolé. (Et merci !)

Dans la série Rions un peu, édifiante comparaison des résultats de San Severo du 5 septembre 1954, les 75cc de base, pour illustrer, selon...

- le Corriere dello Sport du 7/09 :

- Motociclismo n°38 de l'année :

J'en ai fait profiter notre momodedale pour qu'il souffre aussi, et vous maintenant, il n'y a pas de raison que je sois seul à vouloir tuer tout le monde moi compris.

Et après on essayera d'être le plus précis possible sur nos listes de pilotes dates et palmarès !!!!!
Les sources encore et toujours les comparer les croiser et s'arracher les cheveux !!

Une petite question qui ne va pas intéresser grand monde mais bon. "J'ai" entre 1947 et 1955 (voilà déjà la moitié du petit nombre de lecteur qui s'est enfuie) mention d'abord des frères Cordang puis de Cordang tout seul, quand il s'agit de course aux Pays-Bas ou en Belgique.

Ils sont de Swalmen dans le Limbourg néerlandais. Au début, la PQR néerlandais me donne J. & P. Cordang, puis EJ ou E. Cordang (sans que je ois sûr que ce E., EJ, soit distinct du J. du début), enfin, C. Cordang. Notre Sido à nous que le Ciel nous a envoyé place un, je la cite, "Eugène (E.J.) Cordang" qu'elle naturalise Belge, une fois. (Non mais elle ne le fait qu'une fois, c'est ça qu'est-ce je veux dire, je ne fais pas de l'humour anti-Belges, qui sont nos amis, comme tous les autres.)

Là, j'ai une liste d'inscrits à Floreffe en 54 avec E. Cordang (ce qui a déclenché mon ire et ma question).

Bref, ceux qui ont quelques lumières venues de Batavie, pourriez-vous me prénommer les frères Cordang de Swalmen, qui furent entre autres choses de férus amateurs de motocyclisme de vitesse ?

j'ai trouvé que Swalmen était le lieu où s'était  établi et marié le cycliste Mathieu Cordang (en réalité il s'appelait Johannes Matheus Cordang)
https://simcad.nl/1900-09-15-grand-prix-bol-dor-paris-mathieu-cordang/

Au fil des sites internet on voit qu'il avait 6 fils et 2 filles (voir photo !! une grande famille)
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source >> https://ronnydeschepper.com/2019/12/15/mathieu-cordang-1869-1942/

J'ai donc pris le parti pris que c'était un (ou des) fils de ce Mathieu Cordang et j'ai fouillé du coté généalogie ... j'ai trouvé un Eugène Joseph Cordang né en 1918 et mort en 1985
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source (fichier xls sur ce lien) >> https://www.reuvelientje.nl/images/Bibliotheken/Excel/Bidprentjes_Swalmen.xlsx

Bon, dans la famille Cordang, le père, j'avais, la suite j'avais pas.
Tu bosses vite et bien, mon Jack.

Cette descendance doit me fournir quelques coureurs de plus, en employant leurs dates de naissance (hum... voire).

Merci beaucoup, Jacques !

Ah, avant que j'oublie, pour Sidonie :

Le 5ème du GP d'Espagne 1954, classe 125, est Arturo Parugues et non pas Paragues, et il pilotait une MV, pas une Lube, malgré ce que disait Vincent Glon (et ce que répètent les divers wiki). Pour la graphie du nom, quelques dizaines de coupures de presse espagnole, pour la machine, les classements du Mundo Deportivo (tu l'avais bien repéré) et d'ABC plus les publicités MV parues dans le Mundo Deportivo et ABC de l'époque l'attestent.


Il est bien possible que la machine de Parugues soit comme celle de Corsín une "MV Avello" construite à Gijón mais on n'est pas obligé de faire le distinguo sur le pdf.

Didier ... si je ne rêve pas (le néerlandais c'est du charabia pour moi ) je crois que Cordang a gagné en 350cc à Zandvoort (je crois ..) vers Août 1958 .... si l'info t'intéresse j'ai un lien vers une page de journal ....

Il me semble aussi avoir trouvé la trace d'un certain Piet Cordang qui aurait gagné à Alkmaar ?? en Mars 1948
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on retrouve bien ce P Cordang de Swalmen en 1953 sur une DKW 250
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enfin .... si tu veux fouiller c'est avec ce lien et tu pourras sortir toutes les docs que tu veux    il faut trier car je crois qu'il y avait aussi un footballeur du nom de Cordang
https://leiden.courant.nu/search?query=cordang&period=1945-1960&sort=relevance&submit=zoeken

Mars c'est comme Alkmaar, ça renifle le pas-course-sur-route. Ici, on lit Sintelbaan, ce doit être course sur cendrée, Jacques.

Merci de me renvoyer au Leiden courant ou plutôt à son archivage (qu'on peut atteindre aussi via Delpher.nl).

Le problème est que le prénom entier est rarissimement donné. Or, on sait (à cause de toi) qu'il y a Paul et Peter/Piet possibles, déjà.

Pfff... Je ne pouvais pas m'en tenir à mes problèmes de Guérin(s), non ? Il a fallu que je m'embatave.

Quelques kilomètres plus au sud et nous passons de Pays-Bas à la Belgique, à Beveren pour le Prijs der Vlaanderen du dimanche 27 juillet 1958.

Ce n'est pas très fancy, mais enfin on y court, en machines de série (Jules Nies rafle la mise sur sa Motobi 250) et en course où deux fois (350 et 500), Firmin Dauwe s'impose. Bon. Mon problème est un des classés (enfin, deux mais surtout un) - je "connais" tous les autres.

Voici Le Soir du 28/07/58 qui nous donne ces deux classements.


Et le drame se noue : qui donc est ce Pfolk allemand deux fois 3ème ? Il y a peut-être une coquille (il y en a dans ces deux classements, mais relativement très peu, je n'en certifie qu'une). Mais j'ai eu beau chercher avec "k" comme finale ou "Pf" à l'initiale, pas moyen de trouver d'équivalent-Pfolk. Un tourmenteur de diptère avec un penchant germanophile saurait-il dénouer l'affaire ?

L'autre problème est ce bougre de Chock néerlandais, 12ème en 500, dont je me dis qu'il est peut-être Frans Kok mais sans garantie du gouvernement.

Trouver ensuite les machines sur lesquelles ces jeunes gens s'agitent serait jeu d'enfant, en comparaison.

Bonjour,

Merci Didier pour espagne 54'
Bon week-end

L'allemand Dieter Falk sur 250 Adler au TT, à Assen, au Nürburgring, à Monza en 1958.