Saga familiale

bubu a écrit:

cette pub sur les cuirs monneret est d'un mauvais goût total qu'on ne peut que connecter à la légende familiale entretenue par georges comme par pierre, cavaleurs patentés qui n'avaient de cesse de raconter leurs exploits "féminins", pas toujours élégants et pas racontés avec élégance (dans le livre en particulier)

C’est vrai les chastes pensants pouvaient être offusqués à la lecture de leurs / exploits / maintenant nous ne lisons plus, on subit.
Tu sembles oublier les retombées annexes qu’ils en aient reçu.
Tous les accords, records en tous genres d’ont ils étaient à l’initiative ne venaient pas tout seul.
Crois tu que les combines qui sont dévoilées par certains médias soient plus délicates.
Que penses tu de # l’élégance # des  pub (dévoyées) de nos jours ?
Il n’y avait pas la sournoise actuelle.
Mais on s’adapte...

oh justin, je ne compare pas ... disons que les monneret ont été des précurseurs ..., et qu'hier comme aujourd'hui, la vulgarité reste la vulgarité - je me suis d'ailleurs posé la question de savoir s'il y avait de la provocation dans cette grivoiserie affichée, mais non, je crois que c'était juste le besoin d'affirmer sa gloriole, sa capacité à conquérir des courses, des podiums et des femmes - je ne juge pas, je constate- dit autrement : c'était difficile de côtoyer jojo la moto sans l'entendre parler de ses histoires de fesses

Non mais c'est encore un coup du duo infernal Eros & Thanatos, moi j'dis.

Cela dit, toute fringale sexuelle mise à part, c'est vrai que j'ai été surpris du nombre d'histoires salaces - publiées par Moto Revue ! Dans ses numéros de Noël ! - racontées par Georges Monneret. (Histoires par ailleurs sans guère de grandeur "sportive" ni de réel piquant, à mon humble avis de connoisseur.)

[En parlant de vulgarité, la photo de Brigitte Bardot & François Cevert publiée en ce lieu il y a peu doit être un véritable crève-cœur tue-l'amour pour les admirateurs de ces deux figures - je suis du nombre.]

Pour clore le sujet frasques Monneresques, heureusement que Philippe a oeuvré pour relever le niveau [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

[quote="yves kerlo"]Pour clore le sujet frasques Monneresques, heureusement que Philippe a oeuvré pour relever le niveau.

N’ayant pas saisi le sens de ta réponse, je te remercie de nous avoir montré cette image.
Je reste étonné que tu n’ais pas eu les informations qui s’y rapportent.
Espérons qu’un érudit nous délie cette énigme.
.

bubu a écrit:

oh justin, je ne compare pas ... disons que les monneret ont été des précurseurs ..., et qu'hier comme aujourd'hui, la vulgarité reste la vulgarité - je me suis d'ailleurs posé la question de savoir s'il y avait de la provocation dans cette grivoiserie affichée, mais non, je crois que c'était juste le besoin d'affirmer sa gloriole, sa capacité à conquérir des courses, des podiums et des femmes - je ne juge pas, je constate- dit autrement :


c'était difficile de côtoyer jojo la moto sans l'entendre parler de ses histoires de fesses

Difficile de côtoyer Jojo la moto, sans être dans son sérail je ne suis pas tout à fait de ton avis.
Ça devait plaire car il était toujours très entouré. Roger doit en savoir plus mais à quoi bon.
Qu’il soit friend de la gaudriole, c’était sa deuxième main. Tous, à cette époque, n’évoquaient la leur.
C’était avec le personnage, nonobstant ses nombreux surnoms, il l’a assumé.

Tiens, une photo qui circule sur facebouc:

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et devinez qui est à gauche?

Bon, moi je dis rien, je sais ...

La Gilera n°21 est une Manx Didier,non?

A gauche Michel Rougerie ?

oui et c'est cette veste en grosse laine qui me fait marrer, typique du milieu des années 70 : on en avait tous une, mimile , pons , mais pas cheval , il avait sa dignité !!!

73, guidon Shell à Puteaux

88 daytona a écrit:

La Gilera n°21 est une Manx Didier,non?

(Voui, Jean, mais je préfèrerais que ça ne s'ébruite pas trop...)

Monthléry 1961 ; Pierre Monneret et Jean Pierre Cassel

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André Sernin est le pseudonyme de Jean Nersessian, un romancier prolifique (une cinquantaine d'ouvrages) candidat malchanceux a l'Académie Française.
Il a sa page wiki dans laquelle figure :

Pilote de course, 1957
Pilote de moto, 1964

Si c'est Monneret l'auteur il avait une double vie !

Le re-belotte "Pilote de moto" était chroniqué dans M-R 1701 (25/07/64) :

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Un exercice assez curieux, d'ailleurs, qui semble valider l'ensemble du contenu du "roman", mais le fait avec un petit air dégoûté. Ces pincettes-là ont dû apporter quelques centaines d'acheteurs supplémentaires au bouquin.

les turpitudes familiales sont quasi légendaires et ce livre en dévoile quelques unes, c'était effectivement pas indispensable - personne ne pouvait piffrer pierre monneret à l'époque, et il a eu une fin de vie misérable

bubu a écrit:

(...) personne ne pouvait piffrer pierre monneret à l'époque, et il a eu une fin de vie misérable

N'empêche que tu devrais (t')expliquer. Pourquoi ne le souffrait-on plus ? (Ça c'est du re-writing, coco !) Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de fin de vie misérable ?

Entre autres défauts, je ne les connais pas tous, il avait une fâcheuse tendance à lever le coude vers la fin de sa vie.
Un peu excessivement, et ajouté à une certaine prodigalité, il a terminé sur la paille.
On le voyait encore trainer sur les salons de la Moto jusqu'au milieu des années 80. Et c'est un milieu qui n'était peut-être pas propice à atténuer ce vice.

yves kerlo a écrit:

Pour clore le sujet frasques Monneresques, heureusement que Philippe a oeuvré pour relever le niveau [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Pour clore ce sujet ! Comme t’y vas.
Certes, les jaloux, les chastes, envieux et autres souhaiterons fermer l’album mais quoi qu’on fasse, il en restera toujours quelque chose.

Beaucoup plus discret que ses aïeux Philippe (le dernier)… fêtait, hier, ses 63 ans.

Salut

Un dénommer Lucien MONNERET officierait au CLAM de VALENCE D'Agen (club mini moto)
cela vous cause t'il ? fait-il partie de la famille ?

https://www.evolution-moto.com/

Bonjour,

Petite rectification du palmares de Georges publie sur la page precedente...

Il a bien gagne le Championnat de France 1932 en 350cc, mais apres reclamation et enquete de l'UMF, toutes les motos Koehler Escoffier et Monet Goyon furent disqualifiees pour cause de boite de vitesses non conforme au reglement.

Louis Jeannin sur Jonghi TJ4 C fut donc declare Champion de France 350 en 1932, voir les divers compte rendus dans le journal L'Auto sur Gallica-BNF.

Je dois dire que toute ma vie, je n'ai eu que peu de sympathie pour Georges, pas a cause de ses frasques, mais bien a cause de son pilotage et sa facon de traiter ses adversaires...

Mais recement, il faut dire que le personnage a grandi a mes yeux... Le fait de monter dans une voiture pratiquement inconnue et de finir 2eme aux 24 heures du Mans par example, ainsi que d'autres exploits similaires...

Plus qu'un bon pilote, il avait tout simplement la rage de gagner a tout prix!!!

Patrick

DidierF a écrit:

bubu a écrit:

(...) personne ne pouvait piffrer pierre monneret à l'époque, et il a eu une fin de vie misérable

N'empêche que tu devrais (t')expliquer. Pourquoi ne le souffrait-on plus ? (Ça c'est du re-writing, coco !) Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de fin de vie misérable ?

pierre monneret faisait des vacheries en piste, c'était courant à l'époque : freiner en pleine ligne droite , couper la trajectoire en virage, zigzaguer , pousser vers l'exter en prenant la corde - quand ça arrivait une fois comme ça, en fin de course, ça passait , mais pierre le faisait quasi systématiquement à n'importe quel moment de la course - l'une d'elles s'est finie à coups de poings avec collot - quand à sa fin de vie misérable, elle est double : comme son père il a craqué tout son fric, mais en plus il a été condamné pour escroqueries, a fait de la tôle, et a fini ses jours dans une maison de retraite guère reluisante près de fontainebleau - pour couronner le tout, il souffrait vers la fin d'une maladie neuro-végétative, bref, il vaut mieux se souvenir de lui comme d'un mec qui a couvert plus de 500 km dans la journée lors du grands prix de france à reims avec le succès que l'on sait