[Oldies] 50cc de vitesse : Toute leur histoire ! (Partie 1)

[quote="dobermaster"]Le KREIDLER "LECONTE"

fin saison 1971,il a installé un distributeur rotatif et un boîte 5 racing.

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Le Kreidler "Leconte" appartenant à un ami et collègue de travail, exposé en novembre 2012 à Auto Retro de Chambery (avec son accord pour ce passage sur Pit-Lane)
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Vraiment beau ce Kreidler avec carénage de Guazzoni ,un 50 authentique , il y a tellement de réplique de Kreidler Van Veen et autres...

[quote="Samson74"]

dobermaster a écrit:

Le KREIDLER "LECONTE"

fin saison 1971,il a installé un distributeur rotatif et un boîte 5 racing.

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Le Kreidler "Leconte" appartenant à un ami et collègue de travail, exposé en novembre 2012 à Auto Retro de Chambery (avec son accord pour ce passage sur Pit-Lane)
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Fin 71, Tu es sûr ? Quel était le pilote ?

Bonsoir,

Je ne sais pas où me présenter mais cette rubrique m'a décider à m'incrire; plus haut il est mentionné la victoire de Fargeix et la seconde place de Dépailler à Charade 63, je faisais parti du MCA avec eux et ce jour j'avais fait 5 ème avec ma Paloma marque bien française (ni hollandaise ni belge !) elles étaient équipées d'un Franco Morini ;
Le 50 à base moteur Ydral avec un cadre coque était effectivement à Jacques Rocca, le cadre était issu d'une Paloma tourisme type ALTAÏR
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Je connais bien les Paloma puisqu'elles ont bercées ma jeunesse c'était une des marques représentées par le paternel dont j'ai pris la suite (concess HONDA - KAWA)

Une petite image de notre ami "cinquante" alias Godfroy, en attendant de trouver autre chose, mais peut être a-t-il ça en magasin?

Cagnes Sur Mer mai 71, avec la pole position aux essais, un National devant les Inters...

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La référence pour les 50cc c'était la revue Scooter et Cyclomoto, la déclinaison cyclo de Moto Revue

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En 66 Scooter et Cyclomoto avait rédigé un sujet sur la naissance de courses de 50 en Europe, dès 57, avec des épreuves un peu disparates en France, en Belgique mais surtout en Allemagne avec la création en 59 de la Moto Cup à Hockenheim.
La FIM devant ces développements décide de créer une catégorie 50cc en Championnat du Monde en 1962.
Quelques images extraites de cet article.

Les pots de détente sont rares et on voit un début de ce genre sur le Tomos, sinon c'est plutôt mégaphone, le rafut devait être de taille!

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Il y a un article de MR sur lui et les machines préparées par Aufrère et Besse.
Faut que je le retrouve si on m'en laisse le temps.
Article avec photos, bien sur.

Et puis le Graal pour les 50 au début des années 70 le Racing Kit pour Kreidler Florett..!
500 francs en 69 c'était grosso modo 2/3 du salaire net minimum (le Smic n'existait pas), soit 800 euros en 2013.

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En 1961, l'un des Tomos officiels etait pilote par un petit jeunot du nom de Gilberto Parlotti de Treviso, Italie, qui deviendra pilote d'usine chez Morbidelli en 1972. Alors en tete de la course au TT sous la pluie, il perdit le controle de la 125cc officielle et se tua.
Cet accident causera Giacomo Agostini de mener une campagne contre le TT, et cette course historique perdra son statut d'epreuve du championnat du monde.
Une grande partie de l'histoire mourra avec Parlotti.

Au musee Morbidelli a Pesaro en Italie que j'ai visite en Septembre 2012, il y a un "autel" a la memoire de Gilberto, qui avait gagne le respect de tous en Italie.
Ils m'ont aussi honore en me mettant sur un pedestal dans ce musee fantastique, tres sympa de la part du Commendatore Giancarlo Morbidelli, qui a maintenant 82 ans et qui garde toujours son enthousiasme et sa jeunesse d'esprit.

Parlotti sur le Tomos en 69
Source Mike Walker



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Tant qu'on parle de Kreidler, je voudrais revenir sur la fameuse boite 12 vitesses, dont on voit qu'en fait elle résulte de l'ajout sur une boite 4 d'un relais à 3 rapports, commandée par deux cables provenant d'une poignée tournante main gauche, comme beaucoup d'entre nous en ont connu sur les cyclomoteurs 50cc. J'avais ce type de commande sur mon Peugeot BB sport (et Hubert aussi si j'ai bien compris), et les Malagutti ou les Itom des copains aussi, si je me souviens bien. Il faut dire que c'était plus simple à construire qu'une vraie commande de sélecteur au pied.

Le principe de la boite du Kreidler est donc de faire 3x4=12 rapports.
A partir de là, je me suis toujours interrogé sur la façon dont le pilote gérait le dispositif.

J'ai tenté à plusieurs reprises d'imaginer la séquence.
Au départ, la main sélectionne le premier rapport du relais 3, et le pied engage le premier de la boite 4, et c'est parti.
La poigne tournante ne bouge pas tandis que le pied passe le 2° rapport, puis le 3° et enfin le 4°.
A partir de là, mystère : s'il est clair que la main actionne la poignée tournante pour passe le second rapport du relais 3, que fait le pied? Pour moi, la seule solution logique c'est que le mécanisme de sélection soit construit de telle sorte que le pilote puisse continuer à actionner le sélecteur toujours dans le même sens pour qu'après la 4°, il retrouve la 1°.
Encore faut-il que le pilote ne perde pas son décompte pour que le passage 4°=>1° soit bien synchronisé avec l'action de la poignée tournante, sinon, bonjour le désastre.
Est-ce à propos de ce dispositif que j'ai entendu parler de "boite à tristesse"? c'est bien possible et en tous cas, ça semble approprié. J'imagine déjà les anecdotes....

A moins qu'il y ait quelqu'un sur ce forum qui ait une info de première main, soit pour avoir piloté l'engin, soit pour avoir pu examiner le détail de sa conception, je pense qu'on en restera aux hypothèses, en attendant de pouvoir aller à la pêche aux infos auprès du proprio de la machine qu'on a pu voir à Dijon?
En attendant, à vos claviers...

Tiens, en voilà une qui devrait faire causer

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Comme ce n'est pas l'endroit des quizz, je précise de suite que les explications sont sur cette page. La consultation de ce blog semble hautement recommandable aux gens qui suivent le présent topic.

C'est le depart du grand prix de Belgique a Spa Francorchamp en 1968. Il y a Hans Anscheidt en pole avec le Suzuki twin (RK67 14 vitesses), Paul Lodewijkx avec le JaMaThi, Barry Smith et Angel Nieto avec les Derbi officiels. Je suis au fond a droite, mais j'arriverai le premier a l'Eau Rouge avec "le cygne" Kent Anderson et son Kreidler, apres un depart canon de nous deux!
Il faudra presque un tour a Anscheidt et tous les autres avec les armes atomiques de l'epoque pour nous rappeler a l'ordre!
Tout allait bien jusqu'a un tour de la fin et j'etais en 10eme pos. quand mon allumage a fait "poof".
Il y a des jours comme ca...

J'ai conduit le Kreidler 12-vitesses de 1963 confie par l'usine a Claude Vigreux. Nous sommes aller le chercher (et le rendre a la fin de l'annee) a Stuttgart-Unterturkeim. Nous avions fait une seance d'essais prives avant la Cote Lapize, pour s'acclimater au mecanisme. Le moteur de rechange n'a jamais ete necessaire.

1ere a la main gauche, 1ere au pied. Ensuite, 2eme et 3eme a la main.
Retour en 1ere a main gauche, 2eme au pied, puis 2eme et 3eme a la main.
Etc.
Le point mort est comme sur la machine de serie entre 1ere et 2eme au pied.
Le barillet est standard, pas rotatif.

Pour descendre les vitesses, le mieux est de tomber de la 4eme au pied jusqu'au rapport desire (3eme, 2eme ou 1ere) puis de tomber les rapports a la main puisque ce sont eux qui sont "longs". Pas facile et il faut bien se concentrer mais apres quelques minutes on s'habitue. Certains ne s'y sont jamais habitues, comme Tarquinio Provini, qui a jete l'eponge rapidement!

Ooops!

yves kerlo a écrit:

Une petite image de notre ami "cinquante" alias Godfroy, en attendant de trouver autre chose, mais peut être a-t-il ça en magasin?

Cagnes Sur Mer mai 71, avec la pole position aux essais, un National devant les Inters...

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Merci Yves pour le rappel de cet "exploit"
Mais, mais mais Là, je dois vous avouer quelque chose.
J'étais presque certain de gagner sur ce circuit de 800 m tracé sur un parking à l'aide de bottes de pailles. J'étais le seul qui avait le bon pignon de sortie de boite et la couronne qui allait bien.
Malheureusement, comme souvent, j'ai complètement raté mon départ et j'ai engorgé. J'ai donc couché la machine et attendu que le moteur veuille bien reprendre des tours. Lorsque j'ai enfin pu enfourcher mon engin, les concurrents venaient de me prendre un tour. Je suis remonté sur tout le monde sauf Roca, je crois et j'ai été classé second et premier national me semble-t-il, alors que j'avais un tour de retard. Après avoir longuement réfléchi, j'ai décidé de ne rien dire et personne n'a réclamé. Voilà comment j'ai volé mes petits camarades. Seul Jean Paul Fargues m'a demandé comment je pouvais être devant lui alors qu'il m'avait vu démarrer et qu'il savait bien que je ne l'avais doublé qu'une fois. Encore maintenant, lorsque je repense à ça, j'ai honte mais bon... Il y a prescription, non ?
Pour ce qui est des photos, lors de notre divorce, ça s'est relativement mal passé et mon Ex douce a jeté tous mes papiers, photos, revues, feuilles de payes etc.
J'ai réussi à retrouver le Moto Journal où Fred Tran-Duc commentait ma dernière victoire mais c'est tout ce qui me reste.
Donc si quelqu'un retrouve des photos ou articles, je suis preneur.
J'ai retrouvé sur le net l'article dont parle Philippe consacré au premier Scrab qui s’appelait encore Kreidler Voir icihttp://amicalekreidler.1fr1.net/t106-van-veen-replica

[quote="yves kerlo"]Et puis le Graal pour les 50 au début des années 70 le Racing Kit pour Kreidler Florett..!
500 francs en 69 c'était grosso modo 2/3 du salaire net minimum (le Smic n'existait pas), soit 800 euros en 2013.

Le S.M.I.G était, en 1970 de 621,92 pour 169 heures de travail (oui, les 35 heures n'existaient pas encore). Par contre, il me semble bien que monsieur Point vendait le Kit 600 francs. Un Kreidler RS neuf valait un peu plus de 2000 francs (ce qui était fort cher pour un 50.
Et avec une selle un peu moins confortable, en démontant tout ce qui n'était pas indispensable pour la course, on pouvait s'aligner sur un circuit avec la prétention de finir dans les 10 premiers nationaux. Pour bien faire, il fallait aussi passer chez monsieur Rieutor pour monter des jantes Akront de 18 en les chausser de pneus Racing. Mais j'avais déjà obtenu un contrat Motul avant même ma première course grâce à Roger Gauvin. En cas de victoire, j'avais 250 franc de prime. N'importe quel ouvrier qui voulait se sacrifier un peu pouvait s'adonner à sa passion.
Tiens, si je n'avais pas peur de passer pour un vieux con je dirais : "C'était le bon temps"

wâââh, le lien de Cinquante vers le site Amicale Kreidler : super pour ceux qui sont curieux de voir de près les entrailles de ces engins.
Merci à T54 pour la leçon d'utilisation de la boite 12 rapport.
Donc après la 4°, il fallait tout redescendre pour retomber sur le premier rapport de la boite 4, tout en passant le rapport supérieur du relais 3 avec la main gauche, c'est ça, j'ai bien compris? et tu dis que ça n'était pas si difficile?
Bon... ben...

Autres caractéristiques remarquables de ce Kreidler RennFlorett 12 vitesses,
D'abord son alimentation par deux carburateurs situés de part et d'autre du cylindre et orientés vers l'avant, comme on le voit bien ci-dessous :
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Je crois aussi qu'on voyait ça sur les photos du reportage que le magazine Champion avait consacré à cet engin à l'époque où c'est Claude Vigreux qui l'utilisait.
Commentaires bienvenus.

Et puis la fourche sans té supérieur (montage parfois appelé "fourche à épaules") au moins sur certains modèles. Les tubes s'arrêtent au niveau du té inférieur dans lequel ils sont solidement encastrés, et ça fait. Finalement, c'est le même principe que sur les vélos. Kreidler faisat ça sur ses machines de tourisme, pourvues de tout une masse d'équipements et parfois utilisées en duo avec armes et bagages sur des routes plus ou moins carrossables (témoignage concret de ce que j'ai vu pendant les vacances familiales au Portugal dans les années 60, dans ce pays où les marques allemandes, Kreidler, mais aussi MZ et Zundapp monopolisaient le marché du 2 roues). Simple question de solidité du té en question, dimensionné assez massivement, comme on le voit sur cette réplique (qui a une photo de la fourche du "vrai" dans ce type de montage?).
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Mais il semble que par la suite Kreidler soit revenu à un montage classique. Pour ma part, je trouve que ça ne semble plus logique qu'en apparence : on se dit OK, le té inférieur travaille mieux puisque le té supérieur est là. Mais si vous réfléchissez à ce qui se passe au niveau de la section de tube placée juste en dessous du té inférieur, vous m'expliquerez ce que ça change : selon moi, rien.
Par contre le guidon et sa "potence" ont une sacrée allure !

cinquante a écrit:

Samson74 a écrit:

dobermaster a écrit:

Le KREIDLER "LECONTE"

fin saison 1971,il a installé un distributeur rotatif et un boîte 5 racing.

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Le Kreidler "Leconte" appartenant à un ami et collègue de travail, exposé en novembre 2012 à Auto Retro de Chambery (avec son accord pour ce passage sur Pit-Lane)
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Fin 71, Tu es sûr ? Quel était le pilote ?

Après la période Leconte ce Kreidler a appartenu à Bernard Lavot puis à Pierre Martin (je crois que c'est lui qui l'a transformé en disributeur rotatif) ,il est réapparu il y a quelques années mis en vente sur classicmotorrad par un certain Riton,Henri B. ou quelquechose comme ça.

Sur l'image ci-dessus, la moto blanche à réservoir rouge a attiré mon regard de Terrotiste : une 125 Fleuron ou Tenace des années 55-60. Mickie à la rescousse...

Superbe topic , ci dessous un Kreidler apparement peu connu vu la difficulté a trouver des infos sur le net , celui des fréres Kramer , les spécialistes de la préparation des Kreidler a l ' époque , la marque de l ' engin était KDW pour Kramer Dieter Werke.

http://www.zseft-zundapp.com/archives/2011/03/13/20580541.html

Merci pour le lien qui a l'air tout aussi captivant. Je suis quand même surpris de voir mentionner un régime maxi de 31000tr/mn pour un 50cc qui ne fait que 8cv (ok, c'était l'époque héroique, et il y a un début à tout...), mais je pense qu'il y a une erreur sur ce chiffre.
En parlant de relais, je me souviens d'un montage bizarre sur un bras oscillant avec deux chaînes et une double couronne arrière ou quelque chose d'approchant. Je cherche dans mes photos...

Et voilà :
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Je ne sais ce que c'est exactement. Si ça peut aider, le titre de cette photo est : gomatic2speeddv6.
On retrouve une commande par deux câbles, ce qui évoque de suite une poignée tournante main gauche.
OK, plus ou moins déjà vu sur pit-lane, voir cette page
Et pour ceux qui maitrisent le néelandais, http://forum.limburgracingteam.nl/topic/4920-vage-projekten-topic/page__st__280, pas mal du tout pour les images.

en préparant un portrait de anscheidt à paraitre dans moto légende en mars, j'ai découvert que l'idée d'augmenter les vitesses avec une boite relais est de anscheidt lui même et que sur une des dernières versions du kreidler usine il y a eu une boîte 6 avec le relais 3 ce qui nous donne 18 vitesses - je n'en dirai pas plus pour l'insyant sur ce pilote extraordinaire et très peu médiatisé en france... (mêrme si zertains ont les poyens de me faire barler !!!)

Hans-George Anscheidt et son Kreidler au Tourist Trophy il y a une dizaine d'années.

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Photos récentes de 50cm3 prisse à DIJON : COUPES MOTO LÉGENDE 2012 http://zhumoriste.over-blog.com/article-dijon-coupes-moto-legende-2012-fin-108537383.html

Réponses japonaises :
chez Suzuki (14 rapports) :
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A noter ici la présence de 2 arbres assez longs manifestement destinés à permettre d'avoir un bon alignement des différents organes de l'ensemble, un pour décaler l'embrayage sur la droite du moteur (en haut sur la photo, mais l'embrayage lui même ne figure pas), et l'autre pour décaler le PSB vers la gauche.


Chez Honda (9 rapports si je compte bien) :
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Je ne sais pas dire où est le PSB dans ce fouillis de dentures...

A noter aussi qu'il s'agit de bicylindres. Y en a-t-il eu d'autres?