[Oldies] Pat Hennen

Pardonnez le léger presque hors sujet mais un peu quand même : la liste d'inscrits aux 200 miglia di Imola que j'ai ne va que jusqu'au #41 Bruno Kneubühler - c'est la p.26 du programme, dirait-on. Il manque une flopée de gars. Personne n'aurait sous le coude ou pas loin une liste complète des inscrits, l'elenco des 200 Miglia d'Imola 1976 ? À tout le moins la p.27 et/ou la p.28 du programme ?

DidierF a écrit:

Pardonnez le léger presque hors sujet mais un peu quand même : la liste d'inscrits aux 200 miglia di Imola que j'ai ne va que jusqu'au #41 Bruno Kneubühler - c'est la p.26 du programme, dirait-on. Il manque une flopée de gars. Personne n'aurait sous le coude ou pas loin une liste complète des inscrits, l'elenco des 200 Miglia d'Imola 1976 ? À tout le moins la p.27 et/ou la p.28 du programme ?

Oui, j'ai. Je t'envoie par MP .

Une petite, pour la route 200 miles Imola 1976

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Qu'est-ce qu'il est juvénile, le gars Pat Hennen ! (Note, il n'a pas encore 23 ans à ce moment-là.) Belle photo, six for frog. C'est toi qui l'as prise ?

Toutes les photos de courses que je poste sont les miennes (ça doit se voir à la qualité mais il y a prescription depuis le temps !!!).

Dans les rares cas contraires, je mets les références du preneur de vue.


Toujours Imola 1976

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La suite.
Désolé mais les couleurs des diapos sont un peu comme moi et supportent difficilement le poids et les outrages des ans
Il faudra s'en contenter et prendre cela comme des souvenirs

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Tu étais quand même super bien placé pour un photographe "amateur", ami six for frog .....

Merci

... ce n'était qu'une suggestion ... je ne force personne ...

NB : post déplacé pour retrouver la chronologie


Pour illustrer les débuts de Pat en Grand Prix, je me suis dit que le mieux était d’essayer de traduire certains passages d’une inteview accordée à Gordon Jennings du magazine “Cycle” début 1977. Après tout, rien de mieux que d’avoir la perception directe de l’intéressé ….. certaines réflexions pourront sembler un peu naïves, mais il faut se rappeler que Pat était le premier pilote américain de bon niveau à s’attaquer aux Grands Prix de l’ère moderne, et que son interview s’adresse aussi à un public américain, peu au fait des spécificités de la course (et de la vie en général) en Europe ….

Une fois qu’on a reçu notre 500, le problème c’était d’obtenir des engagements, et pour ça il faut avoir des relations, être l’ami de quelqu’un, bref être là depuis quelque temps déjà.  Pour notre premier Grand Prix, il fallait téléphoner en France, et bien sûr ils répondent en français, donc il faut trouver un interprète. Donc il y a la barrière de la langue, et en plus on ne sait pas quoi demander comme conditions, ni comment se les faire confirmer. Pour moi le plus difficile c’était de faire comprendre qui j’étais, ce que j’avais fait auparavant… pour obtenir notre premier engagement, il a bien fallu six coups de téléphone et quatre télex …

Une fois qu’on a compris le système, et si on a des résultats corrects, il y a moyen de se faire un peu d’argent quand même. Les primes d’arrivée ne sont pas géniales, et en Grand Prix c’est l’agenda FIM qui vous indique ce que vous pouvez espérer comme prime de départ. Mais pour les courses internationales hors championnat, c’est une négociation libre avec l’organisateur, il sait ce qu’il peut espérer comme recette des spectateurs, et il faut aussi qu’il propose un plateau attractif, donc il sait de combien il dispose pour proposer des primes de départ.  A chaque course il y a cinq ou six gars qui vont toucher un beau pactole, ça m’ennuie de citer des montants précis mais ça se chiffre en milliers de dollars ( Ndt : donc en multiples de 5,000 f de l’époque).  Et puis un tiers du plateau qui touchera de quoi payer leurs factures et gagner de quoi vivre. En Europe je pense qu’il n’y a que 30% des pilotes environ qui n’arrivent pas à couvrir leurs frais. (NdT : rappelons qu’aux Etats Unis, il n’y a pas de primes de départ, ce sont les primes d’arrivée qui sont conséquentes, et même les derniers classé touchent un petit quelque chose).  

Suzuki GB nous a donné un bon coup de main (NdT : rappelons que Merv Wright, le chef d’écurie, était l’ancien “patron” de Pat chez Suzuki USA) on a voyagé avec eux pendant le début de la saison, mais il nous est vite apparu qu’il fallait qu’on se procure notre propre camion. Tant qu’il n’y avait que les 750 à transporter, ça allait, mais quand il a fallu aussi caser les 500 …. je voulais absolument un diesel, on m’avait dit qu’ils étaient tellement économiques et fiables …. John Williams m’a vendu le sien, une super affaire m’avait-il dit, mais je pense que je l’ai payé beaucoup trop cher. Ce que je n’avais pas compris en revanche, c’est que les diesels étaient si peu puissants ….. 90 km/h au maximum, avec les distances entre les circuits, c’était vraiment pénible.

A notre premier Grand Prix (Ndt : au Mans, donc) on est arrivés en retard, le samedi matin juste pour la dernière journée d’essais. Et on a vu que l’on n’avait que deux séances de 30mns dans la journée. Il fallait qu’on déballe une moto neuve, qu’on la rode, qu’on essaie de régler la carburation et la boite, apprendre le circuit et essayer de se qualifier, tout ça en une heure. C’était la première fois que je roulais sur une 500 RG, je n’avais aucun repère.

Donc on a réglé la moto un peu au pif, assez riche pour ne pas prendre de risques, et pendant la première séance j’ai tourné tranquillement pour bien la roder, peaufiner la carburation, sans essayer d’aller vite. Et puis juste avant le début de la deuxième séance, il s’est mis à bruiner, et là je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose car ils ne prenaient que 35 pilotes au départ. On était loin de chez nous, au milieu de nulle part, et il commence à pleuvoir. On s’est regardés avec mon frère, et j’ai dit : eh, pluie ou pas pluie, il faut que je fasse quelques tours rapides sinon on ne courra pas du tout.

Donc la deuxième séance commence, j’essaie de prendre un bon rythme, je n’étais pas vraiment habitué à la machine, cette 500 est vraiment bizarre, les suspensions sont toutes molles, on avait laissé les pneus Dunlop japonais d’origine car on n’avait pas eu le temps d’en changer, j’arrive a faire deux tours corrects et là il se met à pleuvoir vraiment fort, et je tombe. Un virage lent heureusement, je me relève et je vois ma moto qui finit gentiment de glisser, qui s’immobilise …. et qui prend feu ! Je ne pouvais pas y croire, voilà ma moto toute neuve, avec encore du polish sur le carénage et pas une rayure, qui part en fumée ….il y avait des commissaires un peu plus haut sur les talus, mais qui ne bougeaient pas et regardaient ma moto bruler. C’est moi qui ai couru chercher un extincteur et qui ai éteint le feu, mais j’étais consterné, ma belle moto neuve couverte de poudre blanche, j’étais vraiment désespéré. En plus, je ne savais même pas si j’étais qualifié, on a attendu longtemps jusqu’à ce qu’ils passent distribuer des feuilles dans le paddock et là j’ai soufflé fort, j’étais qualifié, de justesse, je n’avais fait que deux tours lancés mais apparemment l’un des deux était suffisamment rapide ( Ndt : Pat était en fait 36ème et avant dernier qualifié) .  Donc je suis parti en dernière ligne, c’était un départ à la poussette (NdT : le premier de sa carrière sans doute, aux US ou en F 750 : départ arrêté moteur en marche), j’ai poussé une éternité et je suis parti bon dernier, au bout de quelques tours j’étais remonté vers la cinquième place environ (NdT : là, je crois que Pat enjolive beaucoup la réalité !) et d’un coup la machine a serré. Au démontage, on a trouvé cette poudre blanche partout dans le moteur, on n’avait pas pris le temps d’un démontage complet pour nettoyer.


Pas beaucoup de photos de Pat pour ce Grand Prix de France, celle-ci est due sauf erreur au pitlaineux guéguette80

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.... et un extrait du "supplément gratuit du Maine Libre" annoté par mes soins

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Merci Dukasuz pour ces compléments sur Imola .

Et DidierF, si Pat était effectivement remonté 7ème au Mans (j'y étais, mais n'ai pas gardé de souvenir précis) c'est qu'il est encore meilleur que je ne le pensais !

Le week-end suivant, le Continental Circus se déplace vers Salzburg, pour le Grand Prix d'Autriche. Pat et son frère Chip font un peu cause commune dans le paddock avec Stu Avant et son mécanicien Mike Sinclair, avec qui il a sympathisé pendant ses séjours en Nouvelle-Zélande. Et tous ces petits jeunes sont "chaperonnés" par Nanou Findlay, qui les nourrit même (!) en cachette de Jack.

Pat signe le huitième temps des essais, ce qui est quand même plus à son niveau que sa 36ème place aux essais au Mans. Mais il serre de nouveau après quelques tours.

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Pat au départ, masqué par Dieter Braun (#14)

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Un autre extrait de l'interview de Cycle :

Jusqu’à ce que je touche cette RG 500, j’étais persuadé que les Suzuki ne serraient pas. Ca ne m’était jamais arrivé avec les modèles précédents. Mais notre machine avait un vrai problème, qu’on a réussi à régler qu’àu milieu de la saison, en changeant l’allumage. Parce qu’elle serrait sans arrêt et sans explications. C’est un moteur compliqué, et nous n’étions pas les seuls à avoir des soucis. Nous étions pourtant réglés super riche pour éviter les serrages, et du coup la machine ne marchait pas fort.  Il n’y a qu’en fin de saison qu’elle a marché comme une 500 devrait marcher.

Un vrai avantage que j’ai, c’est que je crois bien comprendre la mécanique, je n’ai pas besoin de rentrer au stand quand j’ai un problème et d’expliquer à quelqu’un ce qui ne va pas, et espérer qu’il trouve la solution. Etonnamment, il n’y a pas beaucoup de gars capables de comprendre ce qui ne va pas sur une moto juste à partir de ce que dit le pilote, sans être eux mêmes pilotes. Erv Kanemoto fait partie de ces gars là, ou encore Mike Sinclair. Moi, j’ai toujours aimé travailler sur mes motos, depuis mon premier Honda 90 de dirt track, et j’ai travaillé plusieurs années dans l’atelier de préparation de Ron Grant. Depuis mes débuts, j’ai toujours pensé que le plus important, c’était le travail sur la mécanique. Le fait de rouler dessus, c’était juste la récompense pour le travail fait à l’atelier. Le problème maintenant, c’est que je n’ai pas vraiment le temps de faire les deux. Mais pour l’instant, j’aime encore bien piloter, donc on continue comme ça

(NdT :Pat ne se cachait pas d’espérer à terme passer du seul pilotage à la préparation mécanique et à la “recherche et développement”, voire à la direction d’un team) .

philippe7 a écrit:

Tu étais quand même super bien placé pour un photographe "amateur", ami six for frog .....

Merci

Cf mon premier post de présentation  

jack177071 a écrit:

tu devrais essayer de bricoler avec un logiciel de retouche (The GIMP par exemple ... gratuit ).
Sur chaque photo j'ai fait 3 manips (les mèmes) c'est hyper simple et ça m'a pris 2 minutes par photo ....

Du coup, je n'ose plus mettre de photos prêtes dans l'attente de l'utilisation du logiciel

six for frog a écrit:

Toutes les photos de courses que je poste sont les miennes (ça doit se voir à la qualité mais il y a prescription depuis le temps !!!).

Dans les rares cas contraires, je mets les références du preneur de vue.


Toujours Imola 1976

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Franck Sheene au panneautage en bas à droite ?


Super ce sujet avec l'es photos et interviews d'époque

ces photos sont superbes, même sans retouche, à mon humble avis

Oui belles images et sacré reportage ! Merci à tous.

On voit qu'à l'époque ils ne lachaient pas la poignée de la meule pendant les ravitaillements, je me demande s'ils coupaient le moteur ?

bubu a écrit:

ces photos sont superbes, même sans retouche, à mon humble avis

En attendant, je vais suivre l'avis du pro et continuer de poster

D'ailleurs petite question perso Jacques : pourquoi ne voit-on pratiquement pas de photos de tes potes photographes présents dans les années 70 (Je pense à Ch Lacombe ou même toi, tu dois avoir un trésor ?) ? Ils ne les gardent tout de même pas pour faire maintenant des bouquins ou alors pour leurs héritiers ?
Les vieux schnocs intéressés (c'est à dire nous) commencent à se faire rare et je me demande si la jeune génération va y prêter un regard ?

Autre chose si un modo, pour alléger le post veut remplacer mes photos par des "corrigées", je n'y voit aucun inconvénient

La suite brute (sera corrigée plus tard ................ peut être    )



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La dernière des 200 miles pourrait faire l'objet d'un quizz ?
Mais Pat est bien présent sauf qu'il faut avoir de bons yeux

Ce sera tout pour Pat à Imola. J'ai d'autres prises de vue de lui sur d'autres circuits mais vait peut être attendre un peu les parutions de textes ?

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Pat est en arrière-plan sur la droite de Steve Baker, non ? En tous cas, grand merci pour cette série sur Imola. Quand je pense que pour le sujet TR 750 Suzuki, on ( Pierre Phil Read de mémoire ....) n'avait réussi à trouver qu'une seule misérable photo pour illustrer cette épreuve .....

Bien, nous pouvons donc reprendre la chronologie .... le Grand Prix de France le 25 avril et le Grand Prix d'Autriche le 2 mai se sont donc soldés par deux abandons sur serrage .... le week-end suivant, pas de trace de Pat ni à l'épreuve de F 750 de Jarama, ni à l'épreuve hors championnat de Mettet ...... je sais maintenant par notre correspondant d'outre-rhin Rupert alias Rennmax, que Pat avait souhaité participer aux Mai-Pokal d'Hockenheim avec sa 500, mais que son engagement avait été refusé par les organisateurs.

Et le week-end suivant, le 16 mai, se tient le Grand Prix d'Italie sur le tout nouveau circuit du Mugello. Agostini, pour son premier Grand Prix au Guidon d'une RG, a fait la pole et s'envole en tête au départ. Il sera rattrapé par Sheene et Read, s'en suivra une somptueuse bagarre à trois, puis a deux quand Ago devra abandonner - Barry battant Phil d'une roue sur la ligne d'arrivée. Pat Hennen termine enfin son premier Grand Prix, à une très bonne cinquième place.

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Ce Grand Prix a fait l'objet d'un sujet très complet sur pit-lane, agrémenté par de nombreuses photos de Philwood et ses amis Gilles et Mimiche. A redécouvrir ici : http://www.pit-lane.biz/t5157-oldies-mugello-g-p-d-italie-05-1976

J'en ai extrait la chouette photo de Pat et Chip, ci-dessous :

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C'est un peu hors sujet mais il est bon de savoir que si Ago a fait la pole pour son premier GP sur la Suz, il avait déjà décroché la pole moins d'un mois auparavant au Bugatti avec la 350 MV. Deux-temps, quatre-temps, juste histoire d'énerver ceux qui pensent encore que Giacomo n'a jamais été fort que sur ses chères MV en l'absence de concurrence...

Le week-end suivant (soit le 23 mai) Pat n'est pas au Grand Prix de Yougoslavie (ou les 500 ne sont pas au programme) ni, sauf erreur, à Nivelles ou se tenait une manche du Championnat F 750.

On le retrouve donc une semaine plus tard en France, à Nogaro, pour une nouvelle manche du Championnat F 750. Les Suzuki TR 750 sont vieillissantes, mais encore dans le coup sur ce circuit tortueux. Barry fait le deuxième temps des essais, Pat le cinquième. Mais en course, il abandonnera sur bris de pot d'échappement.

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Pat en arrière plan de l'ami Jean-François Baldé, pas ridicule à Nogaro avec sa 350 au milieu des 750.


Anecdote amusante ci-dessous : dans l'interview citée dans le post "Grand Prix de France", Pat se disait un peu désorienté par les suspensions "molles" ("mushy" in english) de sa 500 RG ..... il n'a pas changé d'avis !

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JF Baldé à Nogaro a toujours été redoutable

philippe7 a écrit:

Le week-end suivant (soit le 23 mai) Pat n'est pas au Grand Prix de Yougoslavie (ou les 500 ne sont pas au programme) ni, sauf erreur, à Nivelles ou se tenait une manche du Championnat F 750.

On le retrouve donc une semaine plus tard en France, à Nogaro, (...)

Attention, Zorro est arrivé !...


Ce que je sais ou crois savoir de la course de Pat Hennen, c'est d'abord son résultat :
500cc : 20 tours – 118,180 km 1. Pat Hennen USA (Suzuki) 39’ 57” 30, 177,55 km/h, 2. Karl Auer A (Yamaha) à 52” 87, 3. Steve Parrish GB (Yamaha) à 1’ 0” 29, 4. Max Wiener A (Yamaha), 5. Franz Heller D (Suzuki), 6. Robert Maier A (Yamaha), 7. Johann Parzer A (Yamaha).

Ensuite, le fait que la bataille pour la victoire fut un combat à trois entre Pat, Phil Read (Suzuki) et Teuvo Länsivuori (Suzuki), qui dura jusqu'à la chute de Teuvo (qui a battu auparavant le record absolu du circuit) puis la panne de moteur de Phil.


Pardon, la source est le Salzburger Nachrichten du 24 mai.

Je guettais le GP d'Autriche 76, pour poster cette photo, mais celà a été trop vite cet après-midi...J'ai tout loupé...
La voilà quand meme...

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DidierF a écrit:

Attention, Zorro est arrivé !...

..... et le sergent Garcia l'en remercie bien vivement

Quand même, il ne fallait pas avoir peur de bouffer du kilomètre ..... de Salzburg jusqu'en Toscane pour le Mugello, puis retour en Autriche en re-traversant les Alpes pour Zeltweg (à côté de Graz) et dans la foulée Autriche - Nogaro ..... tout ça en trois semaines .....


PS : tiens je viens d'apprendre un truc rigolo  dans l'article du Salzburger Nachrichten. En France, on appelle les 50cc les "tasses à café".... et en Autriche ? Les "verres de schnaps" ( schnapsglassklasse)

C'est mignon, hein?

Et pendant ce temps, je convertissais la prime d'engagement de Phil Read, de 100.000 schillings autrichiens. 25.000 FF de l'époque, 1976, et 23.000 € en monnaie de singe du jour. Une belle somme.