Derniers sujets | » [Oldies] Quizz (30)Aujourd'hui à 12:39 par damienfollenfant » [WSBK] Jerez 2024 Les 18 , 19 et 20 Oct 2024 .Aujourd'hui à 12:23 par EDOUARD Jean » [Oldies] Questions (vitesse 1947-1976)Aujourd'hui à 11:51 par jack177071 » [WSBK] Infos 2024 .Aujourd'hui à 6:17 par tripotemascagne » [MotoGP] GP 2024 de Thaïlande à Buriram - Les 25 , 26 et 27 Oct 2024 . Aujourd'hui à 5:39 par EDOUARD Jean » PROGRAMMES MANQUANTS - PGPMHier à 21:33 par DidierF » [GP] Johann Zarco Hier à 17:05 par Le Xav » controle technique motoHier à 17:02 par frank » [MotoGP] Infos , nouveautés , potins , tests et plus pour la saison GP 2025 ... Hier à 12:20 par EDOUARD Jean » [WSBK] Infos 2025 . Hier à 8:58 par EDOUARD Jean » [Oldies] Circuit de Bourg-en-Bresse 1960Hier à 8:53 par DidierF » [MotoGP] GP 2024 d' Australie à Phillip Island - Les 18 , 19 et 20 Oct 2024 .Hier à 5:38 par Aragon » [Oldies] Les Koehler EscoffierLun 21 Oct 2024 - 20:46 par jeannin » [Oldies] Motocistes d'époqueLun 21 Oct 2024 - 20:44 par jeannin » [oldies] Fourche et frein RMELun 21 Oct 2024 - 16:56 par jeannin » [MotoGP] GP 2024 du Japon à Motegi - Les 4 , 5 et 6 Oct 2024 . Lun 21 Oct 2024 - 8:56 par Srx56 » [SORTIES] Montlhéry : Festival du Centenaire les 12 & 13 Octobre 2024Dim 20 Oct 2024 - 15:50 par Ono-Dit-Biot » [Oldies] Honda 6Dim 20 Oct 2024 - 7:11 par Ala Zorro » #4 Restauration de mon side-car des années 70, Ven 18 Oct 2024 - 15:42 par thierysp » [Oldies] Malheureusement, ils sont partis...Jeu 17 Oct 2024 - 19:58 par husk510 » [Oldies] Interview exclusive de Giacomo Agostini !Jeu 17 Oct 2024 - 16:19 par Dukasuz » [Oldies] Des livres sur la course motoJeu 17 Oct 2024 - 13:33 par patapoum » [WSBK] Espagne , Catalunya 2024 , les 22 , 23 et 24 Mars 2024 . Mer 16 Oct 2024 - 22:24 par Aragon » [Oldies] Le mystère des antipodes, ces usines à champions bien trempésMer 16 Oct 2024 - 18:24 par philippe7 » Commande double câble de freins au guidon pour un 2 x 2 cames à l'avantMer 16 Oct 2024 - 18:23 par tonor » [Oldies] Monza 20 Mai 1973Mer 16 Oct 2024 - 8:14 par bubu » [Oldies] Floreffe en BelgiqueMar 15 Oct 2024 - 21:20 par DidierF » [MotoGP] Infos pour l' avenir de nos jeunes pilotes en GP .Mar 15 Oct 2024 - 20:17 par Aragon » [Oldies] Restauration de mon side-car des années 70, la suite!Mar 15 Oct 2024 - 10:40 par Joel Enndewell 2424 » [Pit Laners en course!] Clément Révolte (coupe YAMAHA R125)Mar 15 Oct 2024 - 8:21 par Adco |
|
| [Fiction] Le grand virage | |
|
+7gromono72 philwood drahthaar Marc yves kerlo Mykeul jmdonnat 11 participants | Auteur | Message |
---|
jmdonnat
Nombre de messages : 1185 Age : 70 Localisation : france (gard) Date d'inscription : 07/07/2010
| Sujet: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 13:08 | |
| C'est avec la plus complète indifférence que trois jours plus tôt Léonce avait fêté son anniversaire. Ce genre de chose se pratiquait encore par habitude mais ne rimait plus à rien depuis que les hommes ne mourraient plus. Il avait donc mille deux cent soixante quinze ans... Depuis douze siècles et un peu plus on avait trouvé la solution pour stopper la dégénérescence des cellules humaines. L'éternité devant chacun ; en son temps ce progrès n'avait même pas été remarqué tant il avait été poursuivi, annoncé, pressenti. Le résultat obtenu, tout le monde avait trouvé cela normal. Pendant trois ou quatre siècles tout avait bien fonctionné dans une douce euphorie. Puisque le temps n'était plus compté, il ne comptait plus et le rythme de la vie s'était considérablement ralenti, il n'y avait plus d'urgence, la procrastination était devenue la règle. Plus rien ne semblait bouger. Les êtres humains étaient tous stériles et la population du globe avait été fixée et maintenue à deux milliards d'individus ; c'était amplement suffisant. Pour compenser l'attrition aléatoire (la mort violente existait toujours que ce soit par accident ou par violences volontaires) on fabriquait à partir de cellules souches des « remplaçants » dont le génome était finement composé afin de correspondre aux besoins du moment. Son anniversaire... L'occasion de se souvenir. De tous ses anniversaires un seul émergeait. Le jour de ses dix huit ans, il avait reçu comme cadeau une Hornet. Pendant quatre ans, il avait rêvé de motos, de puissance, d'adrénaline, de vivacité, il bassinait avec sa passion tous ceux qui l'approchaient à moins de deux mètres. Et voilà, elle était là, devant lui, une occasion un peu décrépie, mais quand même. D'autant plus frappant que c'était inattendu. Mais pour lui comme pour tous les autres humains, les souvenirs étaient devenus un immense problème. Beaucoup de souvenirs sont délétères et disparaissent très vite, mais d'autres comme celui de ce dix huitième anniversaire sont indélébiles. Les années passant, s'accumulant, ces images définitives, finirent par remplir la tête des hommes ou la place est physiquement limitée. Jusque vers l'age de trois cent ans, il fit le plein sous son crane, mais depuis plus rien. Il vivait avec comme seul arrière plan ses trois cent premières années et la semaine écoulée se fondait irrémédiablement dans le brouillard de l'oubli. Il n'apprenait plus rien et ne savait rien de plus que ce qu'il savait mille ans plus tôt. Il s'était donc installé un malaise permanent, beaucoup de choses n'avaient plus d'explications. Ce doigt qui lui manquait, l'auriculaire droit, comment l'avait-il perdu ? Accident de moto ? Accroc avec le centre d'usinage qu'il pilotait seize heures par semaine pour gagner sa vie ? Mystère. Au début il avait pensé qu'il pourrait pallier à cette brouillasse qui s'installait en écrivant chaque jour ce qu'il faisait, mais quand quelques temps plus tard il avait voulu relire ses mémoires il n'avait pas pu : à peine avait t-il tourné une page qu'il ne se rappelait plus de son contenu...
Il roulait toujours en moto. Sa machine actuelle était une grosse machine très complexe : une 500 twin qui pesait 80 décanewtons et développait la coquette puissance de 104 kilowatts. Il la trouvait magnifique, bien profilée avec une peinture mate marron clair et des pneus bleu turquoise. Tous les dimanches il la sortait. Du temps ou il tentait de tenir son journal, il avait gardé l'habitude d'écrire sur de petits cahiers les itinéraires qu'il empruntait. Chaque fois cela tenait sur deux lignes. Il avait maintenant vingt cahiers empilés, avec quarante cinq mille fois répétées les deux mêmes lignes :
Alès/ Florac / Saint Jean du Gard/ L'Estréchure/ Saint André / Rousses / Cabrillac/ L'Espérou / Valleraugue / Ganges / Saint Hippolyte/ Anduze/ Alès : 276 Km-3h30'
Pour être honnête, ce n'était pas vraiment des lignes identiques, le temps variait un peu en fonction des aléas climatiques et de l'état de la route. Il avait toujours roulé très vite en moto et cela ne lui réussissait pas trop mal.
On était dimanche, il descendit dans son garage, consulta distraitement ses cahiers et trouva anormal de faire toujours le même trajet. Avant quand il était plus jeune, il ne refaisait jamais la même ballade. Il décida de varier et d'aller ailleurs aujourd'hui. Il enfila son équipement par dessus ses sous vêtements. Ce n'était pour le moment qu'un amas informe posé en vrac. Il se glissa dans ce qui ressemblait plus à un sac qu'à un habit, mais en quelques secondes tout se tendit et épousa les formes de son corps, il sentit en premier ses pieds être serrés puis l'étreinte moelleuse remonta jusqu'à son cou enveloppant ses jambes, son torse, ses bras, ses mains. Ce qui deviendrait son casque pendait mollement sur sa poitrine comme un capuchon inversé. Il l'enfila, pendant trois secondes il ne vit rien, mais la encore la forme se figea la liaison avec le reste se verrouilla et sa visière devint transparente. Le check-up qui vérifiait tous les points de sécurité de sa protection apparut dans son champ de vision. C'est bon, tout était au vert, il pouvait y aller. Dans quelques secondes, les parties dures de sa carapace auraient fini de se solidifier. Il y eut un « clic » discret quand il connecta le tuyau sur le coté du carénage. D'une pression il déclencha le débit de méthanol. Quand ce fut plein le tuyau s'éjecta et se rembobina automatiquement. En fait il ne savait ni la couleur, ni même si ce produit avait une odeur, il n'en avait jamais vu à l'air libre.
Le moteur ronronnait doucement, a cheval sur sa selle les mains sur le guidon prêt à rouler il avait peur. Cette puissance qu'il sentait, le poids et l’instabilité de sa machine l'effrayaient maintenant, il ne savait plus rien, il n'avait jamais conduit : c'était la première fois. Il lacha tout de même l'embrayage et accéléra imperceptiblement. Il roulait ; ses pieds traînaient sur le sol, la rectitude de sa trajectoire l'étonna. Il remonta ses jambes et accéléra plus franchement, la vitesse augmenta d'un coup. Sans qu'il y pense ses membres trouvaient et actionnaient les commandes, la violence du premier freinage le surprit, mais le second le trouva confiant. Il ne se rappelait de rien mais là, d'un coup, il sut qu'il savait. La confiance monta de tous ses crans. A la sortie de la ville, il faisait cracher à son bourrin les trente neuf mille tours qu'il pouvait donner, il lut la terreur dans les yeux d'une petite dame qui s’apprêtait à traverser... En longeant le lac des Camboux il commença à avoir des doutes, mais arrivé à Sainte Cécile d'Andorge, il avait compris que cette fois encore les deux lignes sur son cahier seraient identiques à toutes les précédentes. Les panneaux indiquaient obstinément « Col de Jalcreste » « Florac »... Il ne comprenait pas cette fatalité mais elle ne le révolta pas. Sur sa seule roue arrière il parcourut le bout droit suivant, laissa retomber sa roue avant, freina à bloc, la suspension avant talonna, il sorti sa fesse et balança simultanément sa machine. Quelques étincelles mais rien de grave, c'était reparti pour un tour.
La route était sinueuse mais large et belle elle montait et la puissance était bienvenue. Arrivé au col, à la sortie du dernier virage il accéléra à fond et leva encore sa roue avant. Vingt mètres plus loin, la route s'enfonçait d'un coup pour descendre vers Florac. Il décolla, le vol plané dura un peu et quand sa machine retrouva le sol elle s'écrasa sur ses ressorts et ondula dans toutes les directions il fallait la tenir. Ferme. Il fit ensuite à l'envers toute la corniche des Cévennes et s’arrêta pour une pause à Saint Jean du Gard. Il tremblait d'excitation.
Tous pleins faits il repartit. Les choses devenaient enfin sérieuses. La route étroite maintenant tournait toujours et de plus avait un profil de plus en plus accidenté. Véritablement sportif. Le paysage variait en permanence, à des parois rocheuses abruptes succédaient des forêts profondes et incroyablement pentues. Une seule constante, la route en corniche ; d'un coté le vide de l'autre une berge verticale, inhospitalière. Le summum ce fut après le tunnel du Marquairès, à partir du village de Rousses. Là, la route faisait au maximum trois mètres cinquante de large, était goudronnée mais encombrée de gravillons ce qui pouvait servir pour passer plus facilement la multitude d'épingles à cheveux pied dehors en butée de contre braquage. Les choses redevinrent normales a partir du sommet de l'Aigoual avec la jouissance particulière des grandes enfilades de virages et de majestueuses épingles bien larges et bien profilées genre toboggan. Après Ganges la ballade était finie. Il restait pas mal de kilomètres mais il s'agissait seulement de retrouver une respiration normale et une fréquence cardiaque présentable. Le paysage était toujours aussi fascinant mais les lignes droites se faisaient plus longues et plus nombreuses. Le cerveau de Léonce se remit en marche tout doucement. Dans les souvenirs coincés sous sa boite crânienne il y avait aussi celui ou il s'était vu retirer sur le champ son permis de conduire par un préfet furibard de l'avoir surpris roulant à deux cent soixante dix kilomètres heures. Il avait alors cent trente deux ans et n'avait pas roulé en moto les dix années suivantes. Comment était-il possible d'avoir fait aujourd'hui une telle virée sans avoir vu un gendarme ni même un radar ? D'ailleurs en réfléchissant bien il n'avait pas vu non plus de panneau de limitation de vitesse et très peu de rails de sécurité et puis il y avait aussi ces quarante cinq mille lignes dans ses cahiers, à première vue, sans trou, sans interruption...
Les remplaçants. C'était un coup des remplaçants, en tous cas des plus jeunes, ceux qui avaient moins de trois cent ans. En fait c'est sur eux que repose la marche du monde, ils sont les seuls à encore pouvoir bouger, agir, décider. Et ils ne sont pas très nombreux et donc assez peu puissants. Si ils veulent affermir leur domination, il leur faut augmenter dramatiquement leur proportion dans la population. Dramatiquement, c'est le mot. Seuls des drames répétés pouvaient augmenter le taux des morts violentes unique possibilité pour favoriser l'expansion de cette espèce indispensable. Éternels, les hommes avaient donc réinventé la mort et elle avait un goût de paradis. Cela aurait du l'indigner, le révolter, mais Léonce restait tranquille, même pas morose il acceptait l'idée du grand virage, du dernier, un peu comme une délivrance qu'il ne savait pas désirer. Dans trois jours il aurait tout oublié, cette pensée même aurait disparu et ne resterait de ces heures que deux lignes dans son cahier :
Alès/ Florac / Saint Jean du Gard/ L'Estréchure/ Saint André / Rousses / Cabrillac/ L'Espérou / Valleraugue / Ganges / Saint Hippolyte/ Anduze/ Alès : 276 Km-3h23'
Conseil au lecteur : Ouvrez Google Map et tapez ces deux lignes comme un itinéraire. Si les images s'allument laissez les venir, vous passerez un bon moment.
Dernière édition par jmdonnat le Dim 25 Nov 2012 - 18:21, édité 1 fois |
| | | Mykeul
Nombre de messages : 7080 Localisation : 41 et 95 Date d'inscription : 06/11/2010
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 15:35 | |
| Si ça continue comme ça, il va falloir créer une rubrique "philosophie" ou "anticipation" pour les nouvelles de JMD. Mais qu'importe le nom qu'on lui donnera, je suis fan du contenu. Une (légère) déception, dans un récit d'un tel lyrisme, où les avancées techniques pourraient avoir la part belle, la moto de Léonce est manifestement équipée d'une fourche téléscopique ... Faute d'inattention, anachronisme, provocation ? Je m'interroge. PS: merci à Adrien pour les nouveau smileys. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 15:53 | |
| |
| | | yves kerlo
Nombre de messages : 11336 Age : 71 Localisation : Vallabrègues 30 Date d'inscription : 22/09/2010
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 16:11 | |
| Merci Adrien pour les nouveaux personnages sauteurs Entre Jean Marc et Cheval, il va peut être falloir relier et publier. Y'a quelqu'un qui connaît Gallimard? |
| | | jmdonnat
Nombre de messages : 1185 Age : 70 Localisation : france (gard) Date d'inscription : 07/07/2010
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 16:38 | |
| @ Mykeul, : Je suis vexé ( ) j'ai fait très attention à ne rien évoquer de vraiment conventionnel même pas la fourche. J'ai parlé de suspension qui talonne il me semble que même une JBB ou une GECO peut talonner... Mais j'ai fait quand même une erreur, j'ai évoqué des ressorts et il est bien évident qu' a cette époque la ils n'existeront plus. |
| | | Marc Admin
Nombre de messages : 28161 Age : 66 Localisation : Villiers sur Marne (94) Date d'inscription : 27/05/2008
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 17:34 | |
| |
| | | drahthaar
Nombre de messages : 20 Localisation : À l'est de Paris Date d'inscription : 15/04/2012
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 18:05 | |
| |
| | | philwood Admin
Nombre de messages : 15024 Age : 71 Localisation : Essonne Date d'inscription : 26/07/2011
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 18:34 | |
| _________________ (hristian Bouchet
|
| | | Mykeul
Nombre de messages : 7080 Localisation : 41 et 95 Date d'inscription : 06/11/2010
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 18:48 | |
| Je te taquine, jean-Marc J'ai cru à une provoc de ta part, pour voir si on suivait ... Comme quoi, même les bons auteurs peuvent avoir un moment d'inattention. Mais le plus important et de loin : tes histoires sont captivantes et poétiques (ce n'est pas un gros mot). Alors |
| | | gromono72
Nombre de messages : 737 Age : 74 Localisation : Quatre-vingt-cinq Date d'inscription : 22/11/2010
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 18:48 | |
| Quel bonheur ! De la SF touristico-philosophique à savourer en prenant son temps. J'ai commencé la balade dans les Cévennes, les photos sont dans Google Earth et elles donnent vraiment envie à qui ne connait pas cette extraordinaire région. Tiens, j'irais bien en vacances là-bas, à moto. Merci Jean-Marc. |
| | | Pomme
Nombre de messages : 622 Age : 70 Localisation : Marseille, enfin à côté... Date d'inscription : 28/09/2011
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Dim 25 Nov 2012 - 18:58 | |
| |
| | | general-nemesis
Nombre de messages : 580 Age : 53 Localisation : ales Date d'inscription : 13/09/2012
| | | | Inspecteur Harry
Nombre de messages : 325 Date d'inscription : 05/10/2008
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Lun 26 Nov 2012 - 18:32 | |
| |
| | | MacPepR
Nombre de messages : 4678 Age : 65 Localisation : Arnouville lès Gonesse (95) Date d'inscription : 08/04/2010
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage Mar 27 Nov 2012 - 8:40 | |
| - jmdonnat a écrit:
- .../...
Sa machine actuelle était une grosse machine très complexe : une 500 twin qui pesait 80 décanewtons et développait la coquette puissance de 104 kilowatts. .../... Un rapport poids/puissance de rêve quand-même. Mais 1200 ans de progrès fut-ce en ne bossant que 16 heures par semaine, ça finit par payer. _________________ Freiner, gaazer, entier !
Eventuellement au bas d'un post : "Mac" = allumage et carburation orthographiques réglés, continue à mettre du gaz.
|
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [Fiction] Le grand virage | |
| |
| | | | [Fiction] Le grand virage | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |