Honda racing des sixties part2

Oui faut éloigner les boitiers des bobines et/ou blinder avec une tole.
L'autre piège c'est qu'il ne faut jamais laisser le contact si le moteur ne tourne pas, ça grille les boitiers assez rapidement. C'est écrit en gros et en rouge dans la doc...

J'ai cet allumage sur mon Pantah depuis quelques années et j'en suis satisfait. Le blog du fabriquant avec un 450 CB :
http://allumage-electronique.blogspot.com/2021/12/allumage-450cb-honda.html

Son discours ne change pas, le monde entier est dans l'erreur (quitte à arranger ses preuves), seuls ses apôtres ont vu la lumière....
Sinon oui, il vaut mieux éloigner et/ou protéger les boitiers du champs des bobines

Tant qu’à être sur l’arbre à cames, je préfère mettre deux capteurs et ne pas avoir d’étincelles perdues, ça permet de diminuer la taille de la batterie.
L’allumage électronique que j’avais bricolé sur ma 450 avec des capteurs et boîtiers de 900 bol d’or avait cette tendance à cramer si on oubliait le contact. J’ai pris l’habitude de mettre le contact en dernière minute, de couper l’inter dès l’arrêt et de débrancher le + batterie une fois béquillé.
C’est un inconvénient du batterie/bobine.

Revenons à nos moutons : la culasse n’est toujours pas terminée, mais maintenant que je sais quel diagramme de distribution et donc quelles levées au croisement il va y avoir, je vais pouvoir en finir avec le fraisage des sièges de soupapes.
Quatre millimètres sur chaque soupape au croisement ne nécessite pas de retouche des pistons, par contre, je dois être un peu juste entre soupapes bien que ça tourne à la main sans accrocher.
De plus, du fait des soupapes plus courtes, il n’est pas possible d’obtenir le jeu souhaité à l’admission. Un fraisage à minima de ce siège va permettre de résoudre ces deux problèmes.
Une clearance d’un millimètre est sensé être le minimum entre soupapes….mais je mettrai bien un peu plus.
Je vais déjà fraiser le demi millimètre pour rattraper la longueur et faire le point ensuite. Il faut trouver un truc pour pouvoir positionner les deux soupapes précisément à l’ouverture souhaitée pour mesurer la clearance entre elles sans remonter toute la distribution vu qu’il me manque un act.
Un morceau d’alu un peu épais en appui sur la queue et coulissant sur une tige filetée ,poussé par un écrou permet de régler précisément les 4 mm, contrôlés au comparateur , même chose à l’échappement et on peut mesurer  la distance entre les deux tulipes.
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Résultat : 1,2 mm, avec zéro de jeu aux soupapes, je pense que ça devrait aller et que je vais ranger les fraises Neway pour de bon…..enfin je pense que je recontrôlerai quand même en situation quand j’aurai récupéré l’arbre à cames.

Bon job, au fait une question en voyant ces calottes fonte ou acier rapportées: çà n'accepte pas le sans plomb ces bestioles, il faut additiver?
Dan

À propos du doute sur le matériau des calottes sensées être en acier d’après la revue technique, les copeaux au fraisage font plutôt penser à de la fonte comme tu le disais.
Je ne sais pas si le risque de récession des sièges dû au sans plomb est réel vu le faible kilométrage effectué en usage circuit mais de nos jours les carburants du commerce ont l’autre inconvénient de varier de composition sans qu’on en soit averti.
Si j’ai bien compris, le SP98 actuel contiendrait par exemple 5% de bioethanol . Il me semble plus raisonnable de rouler à l’Avgas 100LL, pas forcément facile à se procurer, avant de devoir acheter de l’essence compétition.

Ok, pour moi c'est fonte, matériau ultra connu pour la réalisation des culasses moteur, avec des alliages d'alu bien sûr. Sinon avec les vieux tromblons culasse fonte ou siège de soupapes non prévus pour le sans PB, on utilise des additifs vendus en station service , qui vont très bien, ils ont en plus l'avantage de mieux conserver le carburant stocké en réservoir. (potassium ou autre).
Dan

Essais aéro chez Enndewell

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Tu décalamine ?

En attendant que la culasse retrouve son arbre à cames et le piston son segment : un peu de plomberie.
La sortie d’huile vers le radiateur se fera par le banjo du couvercle Capellini, il faut prévoir un retour dans le logement du carter d’où l’huile partira en interne vers le vilo et la boîte et par un autre piquage vers les arbres à cames via des durites.
Je vais utiliser les mêmes raccords que ceux déjà posés sur les paliers d’arbres à cames. Comme ils sont filetés en pas de 100, il n’y a pas besoin d’une grosse épaisseur de métal pour avoir plusieurs filets en prise, néanmoins le retour du radiateur étant en diamètre 12mm, je vais prévoir une plaque de renfort en alu dans le carter pour assurer une plus grande solidité mécanique.
Il y a pas mal de place dans le carter à cet endroit et la surface est assez plane, je découpe une chute d’alu assez raide, genre  « dural » pour qu’il se taraude bien et je le bloque à sa place.
J’installe le carter sur la perceuse de façon à être bien perpendiculaire à la surface et je perce et taraude ensemble le carter et le renfort.
Il vaut mieux s’appliquer pour avoir un filetage propre dès le début.
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Je ne fais pas les deux à la fois, je bloquerai la plaque avec le premier raccord avant de faire le second, histoire que ça ne bouge pas.
Avant de percer, penser que les raccords doivent pouvoir tourner pour se visser et que la vis de carter doit rentrer….
On voit que ça serait jouable sans la plaque de renfort:
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Il ne restera plus qu’à monter tout ça au loctite une fois les durites posées ce qui donnera l’orientation des coudes.
Les piquages n’auront plus à être dévissés en cas de démontage.
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Adco a écrit:

Tu décalamine ?

NON

Imagine tu bloque une soupape grande ouverte, tu va voir ou passe les gaz

Putting le carter on peut manger dessus

Je ne sais pas comment je vais faire pour le miens je n'aurais pas la patiente
En plus il pleins de petit recoins.

Là c’est l’échappement, tu es dans le mauvais sens !
Plus sérieusement, je pense qu’il faut pas insister trop longtemps.

Joel Enndewell 2424 a écrit:

Putting le carter on peut manger dessus

Je ne sais pas comment je vais faire pour le miens je n'aurais pas la patiente  
En plus il pleins de petit recoins.

Celui là, c’était mon stock personnel, nettoyé il y a trente ans avec finition tampon vert, rangé au sec dans un sac en plastique. Les autres, ça sera pas la même histoire , mais je laisse ça à mon frère….

On peut avoir une photo du couvercle capeline avec le raccord??

Ce couvercle est spécifique au montage de la pompe trochoïde et du filtre à cartouche, il n’est pas interchangeable avec celui d’origine.
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Les bouchons des ex passages d'arbres comme celui du kick.
Est-ce que c'est un simple bouchon usiné et collé à l'araldit où y a-t-il un joint torique ?
Merci d'avance pour ta réponse

C’est des bidouilles, dans celui là il y a une tige filetée et une rondelle avec un nylstop derrière + pâte à joint, mais on pourrait faire une gorge et mettre un torique .

Joel Enndewell 2424 a écrit:

Je ne sais pas comment je vais faire pour le mien je n'aurais pas la patience  

Pour rendre présentable le 250 JBB (et il n'était vraiment pas beau), une fois en petits morceaux et les parties sensibles bien protégées, j'ai fait microbiller les pièces alu près de chez moi.
60 euros pour tout le moteur...

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yves kerlo a écrit:

Joel Enndewell 2424 a écrit:

Je ne sais pas comment je vais faire pour le miens je n'aurais pas la patience  

Pour rendre présentable le 250 JBB (et il n'était vraiment pas beau), une fois en petits morceaux et les parties sensibles bien protégées, j'ai fait microbiller les pièces alu près de chez moi.
60 euros pour tout le moteur...

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J'y ai pensé mais j'ai peur qu’après, ça devienne vite salissant.
Vu que'ai pas mal de pièces à faire, J'étais même prêt a investir dans une petite sableuse où, bien entendu, j'aurais mis ! soit du corindon ! soit de la bille de verre.

J'avais vu celle là mais il y en a d'autres

https://www.torros.fr/cabine-de-sablage-professionnelle-80-l-754751210?gclid=Cj0KCQiAjbagBhD3ARIsANRrqEuRGZzupU9tQDBDfFvw7To0OPCm1LVscNqYqKJVAoXquAFQtH0KOYAaAmNVEALw_wcB

Bonjour,
En Irlande j'ai fait plusieurs fois "vapour blasted" des pièces en alu, comme des culasses de Commando, des carters moteurs de Ducati.
Vous devez avoir ça en france. C'est une sorte de sablage mais avec de l'eau et un média.
Le fini est satiné, presque brillant. Ça rend une surface prête à utiliser, qui ne marque pas au doigts comme le sablage.
Et surtout l'alu ne s'oxyde pas non plus directement.
Ça me plait, car on a une surface qui a un fini "sortie d'usine".
Franck

Attention, ne jamais sabler une pièce alu! ça devient un piège à gras, et c'est impossible à nettoyer... Contrairement au microbillage qui "lisse" la surface et, surtout, ne modifie pas les côtes de la pièce. On peut aussi sans problème microbiller un plan de joint en alu ou un filetage, alors qu'au sablage le résultat est catastrophique, sur des pièces alu bien sûr. Exemple:

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Sablage au bicarbonate de soude pour les pièces sensibles, nickel sur les carbus par exemple. Sinon la peinture ( dédiée à l'alu) c'est pas fait pour les chiens!
Dan

microbillage avec un calibre assez fin pour ma part, mais je protège les plans de joint. L'idéal reste tout de même le vapor blasting.
Si je recouvre de peinture, alors j'utilise cette fois du granulat de verre, plus agressif. Dégraissage pour la forme et barbouille directement dessus.

Par contre la cabine de sablage de 80l pour se détartrer le dentier why not. Plus gros ça va vite coincer...

Et puis non, on on fait pas tout au chalumeau!!