[Oldies] Agostini par Blondin

Vous savez? Franchement, cet article de Blondin je l'ai lu il y a deux jours...A l'époque, en 72 , je n'avais pas foutu les pieds à Rungis,( pourtant à une petite vingtaine de bornes de chez moi) trouvant cette mascarade insultante pour ma passion, le fric+le show bizz+un "circuit de merde", c'était trop...Alors, un an après ,Blondin qui parlait d'Ago,  ? J'ai zappé, le seul souvenir que j'ai de article était une photo  d'Ago à table, en combine et intégral !!!!!!

J'ai pas dépassé le quart du déballage verbeux à usage des salons germanopratins et des magazines dits féminins pour bourgeoises emperlouzées.
Épuisé et mieux à faire.
Pas sur que les tarmos y aient trouvé leur compte à l'époque...
Chiant, superficiel, nombriliste, méprisant.
Le délayage, c'est en cuisine.
La maîtrise de la plume ne fait pas tout quand on se la met dans le derrière.
On aurait dut le marier à BHL, ils n'auraient au moins pas fait de petits

Gainsbourg qui la maîtrisait bien, devenu "faiseur" par dépit après des débuts qui méritaient plus de reconnaissance était autrement efficace à concocter plus tard ses produits à succès.

Allez savoir pourquoi, peut être pour l'efficacité, me revient cette réplique de Jean-Pierre Melville face à la délicieuse Jean Seberg dans à bout de souffle qui lui demande:
" Quelle est votre plus grande ambition dans la vie ? "
Le romancier Parvulesco répond : " Devenir immortel…et puis mourir. "

philwood a écrit:

Vous savez? Franchement, cet article de Blondin je l'ai lu il y a deux jours...A l'époque, en 72 , je n'avais pas foutu les pieds à Rungis,( pourtant à une petite vingtaine de bornes de chez moi) trouvant cette mascarade insultante pour ma passion, le fric+le show bizz+un "circuit de merde", c'était trop...Alors, un an après ,Blondin qui parlait d'Ago,  ? J'ai zappé, le seul souvenir que j'ai de article était une photo  d'Ago à table, en combine et intégral !!!!!!

Je ne critique pas la photo de Tardy, mais le ridicule de la situation....... Du coup, je ne suis pas allé plus loin...
Merci à Bubu pour l'éclairage d'époque

Humm, y a des tas de choses dans la vie quotidienne qu'on ne peut faire avec un casque et une combinaison...
Prenaient vraiment les lecteurs acheteurs pour des neuneux

Il y a un autre film qui l'habille bien aussi Blondin :

Fügner a écrit:

Allez savoir pourquoi, peut être pour l'efficacité, me revient cette réplique de Jean-Pierre Melville face à la délicieuse Jean Seberg dans à bout de souffle qui lui demande:
" Quelle est votre plus grande ambition dans la vie ? "
Le romancier Parvulesco répond : " Devenir immortel…et puis mourir.

Comme ceux qui restent dans la mémoire collective bien après leur mort?

NB : Bonne référence, Jean-Michel Fügner

Devenir immortel…et puis mourir.
c'est une phrase de romain gary qu'on peut lire et relire sans se lasser (ses romans, je veux dire, pas cette seule phrase)

Ce qui est sûr , c'est que Blondin lui ne restera pas dans les mémoires collectives.
Surtout à pondre un torchon pareil !!!!!!!!
D'ailleurs le seul Blondin célèbre , c'est Clint Eastwood.  

Eh bien moi je l'avais apprècié A L'EPOQUE,cet article. Certes ce n'est pas le Blondin flamboyant que l'on retrouve dans ses chroniques du Tour de France,mais sans doute eprouvait il plus d'empathie pour les professionnels du deux roues sans moteur....Car les billets de Blondin sur le vélo c'est quelque chose!
 Et sans doute n'avez vous pas lu "un singe en hiver" pour ridiculiser un auteur majeur tel que Blondin...

 Meme si cet article fait un peu douche froide dans la Agomania que la presse nous vendait a l'époque,j'avoue qu'apres avoir eté interloqué ,je m'etais dit que ca remettait un peu les pendules a l'heure et que cette vision de quelqu'un de totalement  exterieur a la moto était un point de vue "interessant".
 D'autant qu'Ago sortait de cinq années sans aucune opposition,se baladant en collant un tour a son second souvent sur un monocylindre,se regardant les ongles dans le paddock,figurant dans des romans-photos pour midinettes....
 Bref,sa cote est sérieusement remontée par la suite mais fin 73 date de parution de l'article il se faisait sérieusement ballader par Saarinen d'abord puis Read ensuite.
L'epoque ou il s'arretait pour demander si le record du tour était battu était revolue. Mais en attendant il avait plutôt une reputation de bellatre....Je repete,toujours a l'epoque.La vision que nous avons d'Ago maintenant est toute autre,surtout pour l'ensemble de son œuvre et de son reel niveau de pilotage,meme pendant les années creuses.
 Après tout,il a toujours eté bon ...N'était ce pas Hailwood qui disait "Pourquoi ne fait il pas du cinema avec la gueule qu'il a ? Il me poserait moins de problèmes  le week-end".

En tous cas le talent n'evite pas les felures,et si Blondin s'est suicidé a petit feu toute sa vie dans un alcoolisme morbide,Romain Gary a preferé la solution expeditive du pistolet.

Et comme dans la pub,ce n'était pas fini! Car ce numero de Sport-Moto comportait deux autres articles remarquables...
Le premier signé Jean-Francis  Held,une plume que j'appréciais, beaucoup s'intitulait "les motards et la mort"...

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Et le second s'intitulait "Les spectateurs sont-ils des malades mentaux?"  toujours des photos d'Hervé Tardy avec des legendes de Claude Eveno...

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Trouver tout cela dans un seul et meme mensuel ,moi ca m'allait bien et j'appréciais Sport-Moto, mais peut etre qu'apres tout ca ne collait pas aux attentes du motard qui devait trouver cela un peu "boursouflé"?.....

En attendant moi et ma petite Dora ,qui passe son temps a déchiqueter les bonnets de père Noel,vous souhaitons de passer de tres bonnes fetes de fin d'année !!!!

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Pierre , clairvoyance et ouverture d'esprit vont de pair!
A+ Dan

Oui , biensur faudrait pouvoir tenir compte du contexte de l'époque, mais 40 ans plus tard c'est chose impossible pour le lecteur qui était gamin voir pas encore né en 1973.

En tous cas , merci a toi et Bubu pour ces remises en perspective

Pierre\"PhilRead" a écrit:

Eh bien moi je l'avais apprècié A L'EPOQUE,cet article. Certes ce n'est pas le Blondin flamboyant que l'on retrouve dans ses chroniques du Tour de France,mais sans doute eprouvait il plus d'empathie pour les professionnels du deux roues sans moteur....Car les billets de Blondin sur le vélo c'est quelque chose!
 Et sans doute n'avez vous pas lu "un singe en hiver" pour ridiculiser un auteur majeur tel que Blondin...

Nonobstant ses talents d'écrivain dans "un singe en hiver" et "les enfants du Bon Dieu" que personne ne lui conteste, Blondin était très irrespectueux dans ce papier, c'est seulement ça que je lui reproche. Ago en 73 était quand même "au sommet de l'art" dans une spécialité, la moto de compétition, qui n'était pas celle de Blondin ... il était déjà une icône, et il prenait le risque de mourir à chaque course, à chaque week-end, et ça, ça méritait au moins le  respect ! Tu sais si on me demandait d'écrire un papier sur Lance Armstrong, non, mauvais choix, euh ... Bernard Hinault, je n'y connais rien en cyclisme, et donc ça ne risque pas d'arriver !, et bien je m'inclinerais devant la carrière sportive de l'homme, et à la lecture de ce papier, je trouve Blondin infiniment médiocre ...
En plus il a été invité chez Ago, à Bergame, c'est quand même un honneur réservé à quelques happy few (je ne connais que 3 personnes qui soient allées chez Ago) et il crache dans la soupe ... méprisable !

Le papier de Held est intéressant mais bien dilué aussi ! le message tenait en 3 fois moins de place ... ah ces journalistes payés au nombre de caractères !
Mais c'est très sympa de redécouvrir le ton de la Presse Moto de l'époque ...
Caresse Dora de ma part, elle a une bien bonne tête !

comme disait barry sheene " happiness is a sweet pussy" traduisez par "le bonheur c'est caresser une petite chatte douce", à quoi d'autre pensez-vous grands dégoûtants ?

Ah,les sweet pussy!...

 Bon Jean,je suis d'accord avec toi..."Il était a son meilleur niveau" ,les connaisseurs le reconnaissaient.Il pilotait le mieux possible avec le materiel dont il disposait et avec le recul on se rend compte que personne n'aurait fait mieux a materiel egal sans doute.

Mais il faut avouer que dans les faits 72/73 ont eté des annus horribilis pour lui....A Charade il se fait ridiculiser par Read en 500 qui mene plusieurs tours devant lui avec sa 250 aux plaques barbouillées en jaune. Au Nurbur il se fait tourner autour par Jarno comme on l'a vu....A Rungis il abandonne sous les quolibets et les sifflets sans avoir mené (meme si l'abandon n'est pas de son fait).ect...
 En 73 il commence la saison en chutant derriere Jarno au Castellet et apres la disparition de celui-ci il s'entete a continuer sur la MV 3 alors que Read joue a fond la carte de la quatre cylindres. En fin d'année il ne finit meme pas second au championnat,devancé par la Konig de Newcombe. Et toujours en 73 il ne doit son titre en 350 qu'a la botte de Nevers de Read expédiant Lansivuori dans un trottoir a Imatra.
 Dans le contexte de l'epoque ou la statue de l'idole vacillait pas mal,l'article de Blondin n'était pas si décalé.

 Quand a la villa de Bergame ,ou je n'irais jamais,Aldo m'a un peu raconté et pour un passionné de GP la salle des trophées ce doit etre comme la découverte du tombeau de Toutankhamon par Howard Carter!!.....

Aldo est un des 3 auxquels je pensais, les 2 autres étant Soili et Arto Teronen pour la rédaction du bouquin ...
Ago c'était ça quand même aussi :
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Respect quand même ! Quel bonheur il nous a donné !
(je crois qu'elle est de Damien Follenfant ? Ago's leap))

Bien sur Jean..Il est au sommet du panthéon motocycliste,comme je l'écrivais pour l'ensemble de son œuvre.Le reste n'est qu'agreable discussion de comptoir depuis la nuit des temps ou l'on veut tout comparer...
Pour parler d'Aldo justement,ca arrive a Ago d'evoquer avec lui des champions disparus tels que Paso,Jarno ou Bergamonti et de facon curieuse il evoque ses doutes ...ses interrogations lorsque ceux ci l'ont battu....Il y repense de temps en temps en évoquant avec des "si".....Aldo le "rassure" en lui disant "regarde ton palmarès"..."toi tu es toujours la"....mais c'est curieux de la part de quelqu'un qui represente le champion absolu dans son sport d'avoir ce genre de pensées....

P.S:Quand Aldo lui dit "toi tu es toujours la,"je pense qu'il évoquait Angelo Bergamonti qui,du jour ou il a eté confronté a Ago a materiel egal n'a eut de cesse de le battre avec un pilotage qui semblait a l'evidence over limite en permanence....

bubu a écrit:

comme disait barry sheene " happiness is a sweet pussy" traduisez par "le bonheur c'est caresser une petite chatte douce", à quoi d'autre pensez-vous grands dégoûtants ?

Mais à Nénette, rien qu'à Nénette, c'est d'ailleurs son nom et elle vous fait de l’œil.
Une petite chatte du tonnerre, c'est écrit sur la boîte.

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Il est quand même chouette ce forum où on croise surtout des gens de toutes origines qui exposent majoritairement des points de vues forts invitant à l'occasion à la controverse ou à creuser le sujet, à aiguiser l'esprit critique, avec pour l'essentiel des répliques respectueuses. Elles n'ont pour limites que les ignorances dont les porteurs ne sont pas responsables mais surtout les victimes.

Pour revenir au sujet, même si Blondin qui ne connaissait pas grand chose du sujet qu'il prétendait traiter dans l'article un cri minet et décrivait quelque réalité peux enthousiasmante de la gueule d'ange italienne (avis unanime et experte de la "jante"   féminine, c'est le ton condescendant de son article qui le caractérise avant les qualités techniques de rédaction.  
C'est une formule renversée de celle de Brassens, bienveillant dans son cas à l'endroit des putains, qui conviendrait au mercenaire plumitif :

" L'avait l'don, c'est vrai, j'en conviens, l'avait l'génie,
Mais sans technique, un don n'est rien, Qu'une sale manie  
Certes, on ne se fait pas putain, Comme on s'fait nonne,
C'est du moins c'qu'on prêche, en latin, A la Sorbonne"

On ne mélange pas trop les genres ici dans quelque domaine que ce soit, les fulgurances de Céline et la puanteur de sa pensée, les trajectoires de Lorenzo et son agressivité pathétique...

La compétition moto jusqu'à aujourd'hui nous a préservé pour l'essentiel des poussées nationalistes même si çà se dégrade un peu.
Si l'Histoire et le hasard ont fait des dominations italiennes, anglo-saxonnes, très ponctuellement allemandes, étasuniennes et australiennes plus récemment, enfin espagnoles, c'est quand même la part des qualités du bonhomme qui emporte l'enthousiasme des foules plus que sa supposée pureté raciale (on voit encore peu de galiciens d’Ukraine sur les circuits    
Rayborn, Saarinen, Hailwood, Roberts ou Rossi, Marquez, même... Lorenzo (c'est l'alcool des fêtes   ), ce sont les qualités intrinsèques qui l'emportent. Certains en cumulent une collection, d'autres pas.
J'aimais pas Agostini tout seul sur la MV. J'préférais les indiens contre les cow boys, les MZ contre la horde japonaise, Peter sur son Arter Matchless, Santiago sur la OSSA.
Çà n’empêchait pas d'en apprécier le style et l'horlogerie des machines, le travail consciencieux des cavaliers et le respect qui va avec.

Et pour l'écriture aussi, science sans conscience...

JH42 a écrit:

Respect quand même ! Quel bonheur il nous a donné !
(je crois qu'elle est de Damien Follenfant ? Ago's leap))

Oui Jean, cette photo prise à Bray Hill en 1970 est bien de moi !  Et j'ai toujours beaucoup d'admiration pour ce pilote qui m'a tant fait rêver.
Les "blondineries" n'ont nullement ternies l'image que j'ai de lui et peu m'importe de savoir qu'Ago est sans doute maniaque et égoïste. Personne n'est parfait.

Par contre, ce texte de Blondin que j'ai imprimé pour mieux l'étudier, est un vrai morceau d'anthologie.
Cà se déguste lentement, en plusieurs lectures, comme un verre d'alcool fort, de préférence avec le Larousse à portée de main !
J'aime bien la FORME de cet article : le vocabulaire y est riche, parfois peu usité, les descriptions et comparaisons audacieuses et iconoclastes.
Blondin, écrivain et journaliste, était connu pour son anticonformisme, ses frasques et son alcoolisme notoire...
Vu les qualificatifs employés, j'imagine aisément que le "courant" n'a pas dû bien passer entre lui et Ago :

"hobereau de banlieue", "enfant gâté", "miniature athlétique", "tyranneau", "petit muffle", "petit maître", "voyageur de commerce" etc, etc...

Voilà notre idole habillée comme pas un !

Comparer Ago à un champignon (photo de couverture par Hervé Tardy) est très irrespectueux mais également assez drôle car bien observé. L'auteur ne manque vraiment pas d'imagination  
Les descriptions de la propriété, de la piscine, de la belle Lucia sont du même tonneau : sans complaisance !

Probable que l'interdiction de fumer et la seule boisson offerte (limonade) ont à l'époque profondément irrité l'écrivain alcoolique et fumeur invétéré !?  
Il serait d'ailleurs intéressant d'avoir le témoignage et le ressenti de Tardy sur les circonstances de cet interview.  (Help ! Speedloulou.?...)

Avant ces derniers jours, je n'avais jamais lu ce reportage et je suppose qu'il a dû surprendre le petit milieu de la moto, il y a 40 ans.
Au vu des réactions sur le forum, il est évident qu'il ne laisse nullement indifférent.

En tout cas, ces quelques pages m'ont personnellement donné envie de relire "Un Singe en Hiver" avant d'aller éplucher les Chroniques du Tour de France cycliste par Antoine Blondin.

Et ceux qui n'apprécient pas Blondin peuvent toujours lui préférer Bourgeois et son interview d'Ago (MR n°2104 de Décembre 1972)

Hello tout le monde,
Pour compléter les infos de Bubu et replacer ça dans le contexte de l'époque, Blondin était quand même l'auteur de chroniques sur le Tour de France qui valaient leur pesant d'or… Et son style était celui d'une époque… lointaine !!! Qu'on aime ou qu'on aime pas, qu'on ne supporte pas son goût pour les petits ballons de Blanc, il faut lui reconnaître un sacré talent. Relisez Un Singe En Hiver ou regardez le film qui en a été tiré avec Gabin et Bébel, c'est romantique et alcoolisé ; )

Quand je suis tombé sur ce papier, il y a une bonne quinzaine d'année, j'ai trouvé ça génial. J'avais un autre numéro de Sport Moto où René Fallet (un autre "grand" écrivain de ces années-là) se coltinait avec Michel Rougerie. C'était la rencontre de deux gars de banlieue mais le texte n'avait pas de saveur… Je ne sais pas si d'autres plumes se sont frottés aux Champions de l'époque. Donc j'ai tout misé sur Blondin !!!
En fouinant un peu, j'ai retrouvé Hervé Tardy pour qu'il m'explique les dessous de la rencontre… C'est à lire dans un Café Racer de 2007… Fifi Barret avait hésité à le passer dans MJ mais j'ai eu plus de pages dans CR.
Blondin admirait tous les sportifs, comme autant de héros modernes d'un monde qui foutait le camp. Il est parti voir Ago avec l'idée de rencontrer un demi-dieu, un type pas fait comme les autres… Malheureusement, ça a déraillé tout de suite.
Ago a ouvert la porte et leur a demandé de le suivre en prenant les patins disposés à l'entrée. Vous imaginez la scène ????? Giacomo glissant sur son parquet ciré suivi de Antoine Blondin patinant pour le suivre !!!!!!! C'en était fini du demi-dieu, 13 fois Champions du Monde ! Et puis Ago se tamponnait complètement de cette interview, bricolant son électricité ou signant des piles de cartes postales… Il ne comprenait pas la moitié des questions de Blondin qui s'est peut être senti vexé de ne pas être traité comme il le méritait… Bref, une complète catastrophe. J'avais appelé Ago à l'époque mais il n'avait gardé aucun souvenir de cet épisode. Pourtant ils avaient passé deux journées ensemble ! Autres temps, autres mœurs… C'est pour ça que l'article est rempli d'amertume, de moquerie… Mais il y a quand même beaucoup de choses vraies, ne serait-ce que la gloire éternelle que prédisait Blondin au jeune Ago…

Merci le Loulou de vitesse

ho, c'est pit lane ici, pas une boutique de brosses à reluire !

Oui, remets un peu d'ordre là-dedans : )) Mais, rien ne vaut un petit coup de brosse pour un pit-laineux qui se respecte !