Ce qui me frappe dans l'exposé de Rosenoire, c'est le fait que l'hospitality sert d'interface pour faire entrer le "cinéma" de la course dans les entreprises. Il devient le miroir aux alouettes pour les clients et les employés des sponsors. Une porte ouverte sur le fantastique comme dans le plus banal des films de science fiction. La réalité de la compétition devient image, rêve qui va éviter à l'individu de comprendre trop vite qu'il n'est qu'un pion, au mieux un numéro.
En remplaçant "une heure" par "un wek-end" il semble que la encore Brel avait raison :
Être une heure,
Une heure seulement
Être une heure,
Une heure durant
Beau, beau et con à la fois...