[GP] Johann Zarco

EDOUARD Jean a écrit:

Quelle connerie que j' ai faite de lire GP Inside , ça va me foutre le bourdon pour toute la journée , d' après eux ça s' annonce mal pour notre Johann pour l' avenir chez Ducati , malgré qu' il se trouve quand même pour le moment 9 ème au classement général et regarder qui il a devant lui que des pointures et lui qui avait un petit espoir d' avoir une officielle ou au moins une Pramac pour avoir au moins une moto évoluée , allez pour me consoler je vais espèrer que comme souvent les journalistes se gourent dans leurs infos pour essayer de faire que du mauvais buzz , mais maintenant pour mon cas le mal est fait .

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Il me semble que Carlo Pernat est l'agent de Iannone. Il doit préférer voir Andrea sur la ducati que Johan.

Tout ce feuilleton, ça ressemble un peu au scketch de Coluche :
dans les milieux autorisés on pense que...

Il faut tenir le lecteur en haleine et y aller de petites informations sibyllines souvent sans grand fondement. C'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa g...le !

Alors qu' on ne dise rien , j' en suis à 3 apéros anisés ( pour ne pas faire de pub d' alcool )

Jean, ne te sens pas obligé de remonter sur le forum tout ce que tu lis par ailleurs

C' est tout simplement pour faire monter mon nombre de posts et de plus à l' hospice ça m' occupe tu verras quand tu y seras , mais non c' est remonter des infos que certains ne voient pas par manque de temps ou autres .
Et le plus intéressent c' est que chaque fois que quelqu' un ouvre les liens je touche une commission qui me sert à payer mon hospice .

En fait rien de vraiment nouveau, on spécule, on extrapole, comme le souligne srx56, on s'autorise à penser ...

En disant que pour Dovi c'était 50/50, Pernat ne prend pas vraiment de risques. Et pour Johann ça me paraît un peu prématuré d'évoquer son éventuelle promotion. Il a su jusqu'à présent réaliser d'honnêtes débuts, ce qui n'est déjà pas si mal, mais aura t'il le temps d'en montrer plus avant qu'une décision soit prise pour la composition des Teams Ducati Factory et Pramac ? Ayant accès aux datas de Johann et pouvant les comparer avec ceux des pilotes et motos 2019, l'usine Ducati a sans doute les moyens d'évaluer le niveau actuel de Zarco et sa marge de progression.

Vu de l'extérieur et s'il continue sur cette lancée Pecco Bagnaia a montré une progression intéressante. Je ne suis pas convaincu en revanche par Jack Miller. Pointe de vitesse incontestable, mais comme son pote Crutchlow trop (pour l'instant) inconstant. L'élément le plus solide (à défaut d'être le plus flamboyant) pour assurer et surprendre quand les conditions sont bonnes pour lui me semble rester Dovi.

EDOUARD Jean a écrit:

Quelle connerie que j' ai faite de lire GP Inside , ça va me foutre le bourdon pour toute la journée , d' après eux ça s' annonce mal pour notre Johann pour l' avenir chez Ducati , malgré qu' il se trouve quand même pour le moment 9 ème au classement général et regarder qui il a devant lui que des pointures et lui qui avait un petit espoir d' avoir une officielle ou au moins une Pramac pour avoir au moins une moto évoluée , allez pour me consoler je vais espèrer que comme souvent les journalistes se gourent dans leurs infos pour essayer de faire que du mauvais buzz , mais maintenant pour mon cas le mal est fait .

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Il y aurait des journalistes sur GP Inside ...

Il serait intéressant de relever toutes les fois où Carlo Pernat a dézingué Zarco ces derniers temps.

EDOUARD Jean a écrit:

Alors qu' on ne dise rien , j' en suis à 3 apéros anisés ( pour ne pas faire de pub d' alcool )

3 Blancart, tu ne risques pas grand'chose

Qu'est-ce qu'ils mettent dans le réservoir à 1"07?
un booster d'octane?

Sympa, il ressemble à un pilote de Promosport à l'entraînement. Dans l'organisation je parle, j'imagine qu'en piste il va autrement plus vite.
Espérons qu'il ait bien rempli la paperasse FIM/DORNA pour ne pas se retrouver dans des ennuis à la Quartararo.

woab a écrit:

qu'est ce qu'ils mettent dans le réservoir à 1"07?
un booster d'octane?

Sans doute. On essaiera de lui demander...

Plus naïvement, je pensais qu'il faisait le plein au pichet pour calcul de conso, par exemple, et le filtre permettait de retenir les impuretés (vieux bidon qui trainait, ou autre plein au Mercado du coin) et le  "ca ira mieux comme ca .." revenait sur un léger pb rencontré .. (comme elle semblait  ne pas super bien démarrer par exemple )

MacPepR a écrit:

Sympa, il ressemble à un pilote de Promosport à l'entraînement. Dans l'organisation je parle.

+1, j'ai immédiatement pensé à ça également

Autre possibilité mais un peu semblable , il refait le plein avec un pichet, comme dit Booze, avec de l' essence haut indice qu' il prend dans un fut de 50 L. Il ne faisait que des petites séries de tours, donc inutile de remplir le réservoir à raz, du moins c'est ce qu'il faisait lors de roulages à Alès

Il me semble que dans les règlements FIM/DORNA pour ce genre de séance d'entraînement, le moteur de la moto est de série. Si tel est le cas, l'essence spéciale ne se justifie pas.

Effectivement, je pense que c'est une essence standard, 98 d'octane.
Je pense que le booster d'octane est assis sur la selle.

gegedej a écrit:

MacPepR a écrit:

Sympa, il ressemble à un pilote de Promosport à l'entraînement. Dans l'organisation je parle.

+1, j'ai immédiatement pensé à ça également

+ 2 !

Le box vide, les 2 gars décontractés, l'ambiance fleure bon le camping sur paddock, et la gamelle de nouilles au jambon, a l'opposé du Moto GP. On a envie de passer taper la discute avec une binouze. C'est touchant...

Je viens de trouver 3 vidéos, d'environ 4 minutes chacune, sur facebouque
Sympa à regarder pour qui apprécie un peu Johann.

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On parlait organisation type Promosport et non état d'esprit. C'est vrai que certains se la racontent fortement en Promos. Cependant, ce n'est pas non plus la majorité du genre, heureusement.

Une interview de Zarco par La Repubblica, ici en version anglaise, avec des révélations étonnantes sur l'ambiance avec Fellon :

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En français (fluctuant !...)

C'est un personnage étrange. Comme vous le lirez dans cette interview, il est complètement différent de n'importe lequel de ses collègues. Par conséquent, discuter avec lui est toujours un exercice intéressant. Ses réponses et explications sont loin du discours habituel que les cavaliers mémorisent… Je parle de Johann Zarco.

Étonnamment, le Français mène le championnat après les deux premières manches de MotoGP 2021 organisées au Qatar. Nous en avons discuté avec lui et de bien d'autres choses: son attitude vaccinale anti COVID; comment il a réussi à être l'homme le plus rapide du monde sur une moto MotoGP; sa relation compliquée avec Laurent Fellon, son ancien manager; son amour pour la musique; et plein d'autres choses.

Ce fut une longue conversation en italien, l'une des langues qu'il parle en plus du français, de l'anglais et de l'espagnol…

«Passer deux fois sous le drapeau à damier au Qatar a été agréable et en même temps une sensation étrange. J'ai toujours été rapide à Losail mais depuis que j'ai couru ici la première fois en 2009, je n'avais jamais été sur le podium. Donc c'était bien d'être là-haut… Une fois c'était déjà bien, deux fois c'était fantastique.

Les deux podiums ont été assurés immédiatement après le départ de la course. Je ne vais pas dire que c’était deux podiums faciles, mais je dirais que j’avais les situations sous contrôle. C'était un bon sentiment que je n'avais pas eu depuis longtemps. Le sentiment de pouvoir se battre pour le podium ou même pour la victoire. C'est ce que j'ai ressenti à la fin des courses au Qatar.

Parlons du record de vitesse que vous avez établi à Losail. Le chiffre de 362,4 km / h sur une moto a impressionné tout le monde. C'est incroyable. Avez-vous un sentiment particulier de savoir que vous êtes le pilote le plus rapide au monde en MotoGP? Avez-vous ressenti à un moment donné de la peur ou une autre sorte de sensation?

«Non, pas peur. Nous sommes habitués à ces niveaux de vitesse. Mais je me sentais bien, car chez Ducati cela faisait un moment qu'ils ne voulaient pas franchir la barrière des 360 km / h. Nous atteignions régulièrement plus de 350 km / h et quand ce jour-là j'ai vu que le vent soufflait dans la ligne droite j'ai compris que cela me pousserait probablement à environ 357 km / h et peut-être accrocher à un sillage que je pensais pouvoir faire. à 360 km / h. Et ça a marché.
Et à propos du record, je dois dire que c’est un plaisir d’entendre des gens qui n’aiment pas beaucoup les vélos en parler et pouvoir répondre, à plus de 360 ​​km / h à quelqu'un qui demande à quelle vitesse vous roulez sur ces vélos. J'aime voir comment ils sont impressionnés. »

Parlant avec Gigi Dall’Igna, il soutient qu’une Ducati peut être plus rapide qu’une F1 si la traînée est enlevée du carénage. Le Desmosedici est certainement un vélo différent des autres. L’idée d’un vélo hyper puissant est sympa, non?

«Eh bien, les circuits ont aussi des virages! Essayons de gérer correctement ce pouvoir. Il y a des moments où il semble que nous en ayons trop… Mais après avoir terminé des courses comme les deux à Losail, vous ne pensez pas que vous avez trop de puissance!

Atteindre le record de vitesse était une certification que la moto est rapide et après dans le combat dans les deux courses du Qatar, nous avons vu que cette puissance a beaucoup aidé… C’est un message pour ceux qui disent qu’une telle puissance est inutile. Une fois que vous avez configuré votre vélo pour le circuit, avoir toute cette puissance se transforme certainement en un avantage. »

Dall’Igna m’a dit aussi qu’il avait insisté pour vous avoir chez Ducati car il voulait montrer qu’après un processus d’adaptation, cette moto peut être pilotée rapidement par un cycliste issu d’un autre type de vélo. Parce que chez Ducati, il y a la fameuse discussion de savoir si c’est le pilote qui doit s’adapter aux caractéristiques de la moto ou si c’est la moto qui doit être adaptée au style du pilote. Dall’Igna pense que ce processus doit se déplacer dans les deux sens, ce qui signifie qu’à un certain point de l’échelle, il y a un compromis. Votre processus d'adaptation Ducati a-t-il été comme ça?

«Je dirais oui. Mais je suis un cas spécial. Je suis arrivé chez Ducati après une période spéciale. Je n’étais pas en mesure de demander quoi que ce soit. J'ai d'abord dû prouver que j'étais toujours compétitif. Calme vite ils ont vu que ma capacité d'adaptation était bonne. Nous avons également vu que les commentaires que j'ai faits concernant le vélo m'ont aidé à rouler plus vite et la même chose s'est produite avec les suggestions qu'ils ont faites.
Comment est l'ambiance chez Ducati?

«J'aime tout ce qui est italien. Quand je suis arrivé chez Ducati, j'ai senti que je me joignais à l'histoire de la moto, à l'histoire de la course. Le slogan de Ducati sur la passion de la course est quelque chose qui m'a tout de suite surpris… En PRAMAC aussi!… Je me sens soutenu par l'équipe et aussi par Ducati. À l'intérieur de la boîte, nous sommes capables de nous amuser, de rire, mais quand il s'agit de travailler, nous le faisons tous très sérieusement.

Parlons de Laurent Fellon, l'homme qui vous a bâti en tant que coureur et qui a longtemps été votre manager. Vous avez eu une relation étroite qui s'est terminée par une rupture inconfortable. Avant de parler de lui, je suis curieux de savoir comment vous vous entendez avec son fils, qui a rejoint le championnat du monde en Moto3. Avez-vous des contacts avec lui? Parlez-vous avec lui?

«Non, nous ne pouvons pas. J'ai essayé de lui dire bonjour mais… Quand je lui ai écrit pour lui dire que je voulais le rencontrer pour lui souhaiter la bienvenue, j'ai reçu le lendemain une lettre de l'avocat de Laurent m'interdisant tout contact avec son fils. Et si j'insistais, il m'a prévenu qu'il me poursuivrait en justice.

Quel dommage! Parce que pour autant que je sache, il a joué un rôle important dans votre buiddup en tant que cavalier.

«Oui, certainement, mais il veut que je reste loin de son fils.

Je suis curieux de connaître la figure de Fellon. J'aimerais le rencontrer un jour.

«Si vous le faites et lui posez des questions sur moi, il sera immédiatement contrarié ou étrange. Il resterait probablement silencieux en pensant que vous voulez le tromper.

Vous êtes arrivé en MotoGP après avoir remporté deux titres en Moto2 et avoir été la référence pour les fans de courses françaises. Puis, Fabio Quartararo est soudainement apparu et toute l'attention qui était sur vous s'est éloignée. Comment te sentais-tu?

«Ça a glissé, oui, mais à ce moment-là, je me sentais tellement déprimé par ce qui se passait avec moi en KTM que je pensais 'au moins c'est bon pour la France.' Grâce à mes performances et à Fabio, un boom de l'intérêt pour les motos s'est produit en France. Les gens sont devenus curieux et ont commencé à s'intéresser à ces deux gars qui semblaient bien réussir dans les courses de motos; c’était bien pour les motos en France… Maintenant que nous pouvons dire que je suis de retour, la France a deux meilleurs pilotes. Certes, une rivalité entre nous peut arriver, c’est humain, mais à la fin il est jeune, il est français… C’est bon pour la France. »

Quels sont les objectifs sportifs et personnels de Johann Zarco pour l'avenir?

Pourquoi? Pas pour une raison économique, je suppose. Parce que je peux imaginer que vous n’avez aucun problème dans ce sens.

«Les choses ne sont pas ce que vous pensez. Avec tout ce que j'ai traversé, je commence presque à gagner de l'argent cette année. Je ne dirai pas que j'ai redémarré à partir de zéro, mais je n'ai pas pu économiser autant avant. "

Pourquoi? Comment dépensez-vous le montant que j'imagine que vous avez gagné auparavant?

«Cela vient des problèmes que j'ai eu avec Fellon, par exemple. Mais je ne veux plus en parler ni même y penser. L'objectif est de rester en forme, comme je le suis maintenant, et de maintenir l'élan que nous avons montré à deux reprises au Qatar.

De quoi avez-vous besoin pour être champion du monde?

«Terminer 15 courses secondes!… Sérieusement maintenant, ce dont nous avons besoin, c'est de rester compétitifs, de faire des courses comme celles que nous avons faites au Qatar.

Pensez-vous que la moto que vous conduisez actuellement peut vous faire remporter le titre?

«Oui, je pense. Les gens disent qu'il y a des circuits dans lesquels cela ne fonctionne pas. Mais si vous analysez la dernière saison, dans la plupart des endroits où l'équipe d'usine a eu des problèmes, d'autres Ducatis ont pu être compétitifs, que ce soit du PRAMAC ou de moi-même. À la fin, il y avait toujours une Ducati là-haut. Cela signifie que le vélo a du potentiel. Cela dépend du style de conduite du pilote. Si le pilote est capable de faire la bonne chose au bon moment, il sera toujours devant.

En discutant avec Dall’Igna, je lui ai dit que l’image de la Ducati est celle d’une moto solide qui doit être pilotée de manière sauvage. Il m'a dit que ce n’était pas vrai; en fait, il soutient que c'est exactement le contraire: sa moto doit être conduite de manière fluide. Partagez-vous cette opinion?

«Plus vous roulez vite, moins vous avez besoin d'efforts pour faire du vélo; tout sort plus facilement. Mais cela se produit essentiellement avec tous les vélos. Et quand vous arrivez au point où tout coule, c'est alors que vous appréciez vraiment et vous amusez à rouler. Je pense que c'est la définition d'un vélo de course: plus vous roulez vite, moins vous avez la sensation de faire quelque chose pour être rapide. Tout sort par le ressenti… Mais c'est plus facile de le dire que de le faire!

C’est intéressant, parce que lorsque vous arrivez à ce point, vous vous demandez pourquoi je m'entraîne autant, pourquoi est-ce que je me tue au gymnase tous les jours? Parce que tout sort sans effort. Dans les deux courses au Qatar, j'ai terminé beaucoup moins fatigué que lorsque j'avais terminé treizième à Jerez l'an dernier.

Avez-vous travaillé intensivement sur votre condition physique l'hiver dernier?

«Je l'ai fait et je continue de le faire. Je suis plus en forme que jamais. Je fais beaucoup mieux de vélo maintenant. C’est la différence

Je dois avouer que j’aime la façon dont vous abordez les choses, la façon dont vous pensez et la sincérité dont vous faites preuve, ce qui n’est pas si normal chez les coureurs.

«Cela vient du fait d'avoir vécu avec Fellon. Si vous lui parlez, vous verrez qu'il ne dira jamais les choses comme moi. Son mode de vie m'a poussé à regarder les choses autrement. Quand je l'ai rejoint, il m'a dit que si je voulais vivre avec lui et être fort sur le vélo, je devais écouter tout ce qu'il disait. Et ça s'est passé comme ça jusqu'au moment où je me suis dit: «Non, tu ne peux pas être d'accord avec tout le monde.» Il y a des choses qui étaient trop extrêmes. À partir de ce moment, nous avons commencé à nous disputer.

J'ai arrêté d'écouter toutes ses choses, toutes ses paroles. Il pensait que je voulais le tromper. Et ce n’était pas comme ça. Ce qui se passait, c'est que j'étais en train de mûrir et en tant qu'adulte, j'ai commencé à avoir mes propres idées et opinions.

L'image que nous avons de Fellon est qu'il était un homme dur avec des méthodes militaires.

Votre famille vous a-t-elle manqué pendant la période où vous avez vécu avec lui? Avez-vous déjà pensé à abandonner?

«Non, abandonner n'était pas une option. Et en ce qui concerne la famille, j'étais heureux quand je leur ai rendu visite. Il y a eu des moments où ma mère et ma sœur ont voulu me séparer de Felon. «Notre enfant va devenir fou!» Prévenaient-ils. Mais mon père a dit: «Non, laissez-le rester là-bas. Il reviendra quand il aura besoin de nous. »Ma famille est restée ouverte à moi tout le temps. Ils ne m'ont jamais tourné le dos.

Après avoir rompu avec lui, avez-vous eu besoin d'aller voir un coach mental ou quelque chose de similaire?

«Non… je l'ai fait moi-même… j'avais ma famille.

Changeons radicalement de sujet. Avez-vous reçu le vaccin?

"Non."

Pourquoi?

«Parce que je ne fais pas confiance aux gens qui sont derrière tout ça… Non… je ne me sens pas à l’aise. Nous ne savons pas ce que c’est vraiment. Au début, nous avions une certaine liberté de pensée. Il y a eu une discussion pour savoir si nous étions manipulés ou non. Maintenant, c’est comme: «Écoute-moi et fais ce que je dis.»… Et je n’aime pas ça. Mais je ne juge pas ceux qui acceptent le vaccin. Je comprends bien.

Il est beaucoup plus difficile d’aller à contre-courant. J'ai essayé de défendre mon point de vue l'année dernière en n'utilisant pas le masque, mais l'IRTA m'a averti que je serais banni de la course si je n'utilisais pas le masque… et je devais l'utiliser.

Je ne suis pas si révolutionnaire parce que si je ne fais pas de course, je ne pourrai pas payer l’hypothèque de ma maison et ainsi de suite. Je n'ai donc pas d'autre choix que de garder le silence et de continuer. Peut-être qu'à la fin je devrai me faire vacciner si je veux continuer à courir car cela peut devenir obligatoire.

MERCI SPÉCIALEMENT À NOTRE COLLEAGUE MASSIMO CALANDRI ET À «LA REPUBBLICA» POUR L'AUTORISATION DE LA PUBLICATION DE CETTE HISTOIRE

voila un garçon qui en a dans le ciboulot, qui ne suit pas bêtement les courants à la mode, un caractère trempé.  mais on le savait déjà.
Dan