[Oldies] Les transporteurs de motos des paddocks

Si j'ai bonne mémoire mon Ford transit avait deux portes arrières.

Tout à fait Mikeul, pourtant Christian tu en as pas mal en photo des 238, ceux de Maisons Alfort...
C'est plus ce que c'était les archivistes, on voit bien que le Chef n'est pas là!

En voila un de Fiat 238...Toujours a Charade mais deux ans plus tard ,en 1974...Nous sommes chez "Cheval"...Le deux portes c'est un 238 surelevé....et derriere on distingue un Ford Transit...Bon,je photographiais surtout les motos...

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Une photo du mien de face mais je suis sûr deux portes à l'arrière !

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Le Ford Transit a eu de multiples déclinaisons et il est fort possible (d'autant plus que tu en as eu un   - Version plus moderne que dans les 70s), qu'il y ait eu des versions 2 portes AR.
Il me semble en revanche que le 238 n'a connu que les 2 portes, telles que montrées sur les photos de Pierre PhilRead.

Oh Pierre tu as ressorti toute la collection des Motards pour la Photo. merci.
Vous êtes des experts sur les Ford et Fiat 238 les gars
Oui bien sûr qu'il y a eu des Transit longs et courts, à roues jumelées arrière pour certains longs, avec hayon ou portes doubles arrière, avec porte coulissante conducteur même pour certains.
Moi j'ai eu celui dont je rêvais, un court Diesel avec la petite calandre sympa , les deux portes AR, qui avait bien du mal à tirer la vieille caravane Star, et surtout qui démarrait très difficilement car avec une seule bougie de préchauffage dans le conduit d'admission, il ne fallait surtout pas rater le bon moment.
J'ai encore la marque du petit bouton qu'il fallait tenir enfoncé de longues minutes sous le doigt, avant d'actionner le démarreur.
Je me souviens surtout des nombreuses poussettes qu'il nous a obligées, jusqu'au moment où on a installé une seconde batterie, et là plus de souci.
Par contre je l'avais acheté à un menuisier passionné des pigeons voyageurs, et il nous a fallu pendant des mois
rouler les fenêtres ouvertes pour se débarrasser de l'odeur.

Les voyages avec nos "transporteurs" de l'époque étaient quelquefois folkloriques.
Mais entre la 2 CV camionnette et le Ford Transit, j'ai aussi eu la chance de dénicher le Combi VW qui nous a trimballé plusieurs saisons, celui avec le pare brise séparé en deux, le via quoi!!
Une direction tellement floue qu'il fallait sans arrêt rectifier pour aller droit, des freins qui permettaient tout juste de ralentir, et des phares (en 6V) qui éclairaient à peine l'avant du pare choc, sans parler des essuies glaces qui essayaient tant bien que mal de faire leur boulot, sans y arriver, mais comment leur en vouloir!!
Quelle différence avec les fourgons/limousines d'aujourd'hui.

Et dire que les Combi VW sont autant recherchés que les truffes a Richerenches maintenant....

Revoici le Fiat 238 d'"Olive" dans le paddock a Karland en 1974...Un beau "stoppy",a se demander si le freinage etait d'origine!

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Photo deja postée dans un autre topic.Je l'ai prise dans le paddock a Magny-Cours en Juin 1970. Le Ford Transit a hayon de l'ecurie baranne et a G,le Fiat 238 de l'ecurie. Au premier plan la H1R de Ravel #114 qui a remporté les 500 ce jour la.


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philwood a écrit:

Paso à Charade. C'est le 238 non?
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 [/center]

 Heureusement que tu t'y connais davantage en motos qu'en camionnettes, toi   

J'ai toujours mon second 238, 1973, le premier 1969, je pense que pour lever l'arrière il faut être vide bien entendu mais être 3 ou 4 à l'avant au moins d'ailleurs sur la photo on a l'impression qu'il est "plein" devant !
Il a toujours été identique pour les portes surélevé ou pas, peu de modif dans sa carrière à part le moteur passant du 124 au 131; un diesel était en préparation et c'est un artisan italien en rachetant tout le stock de pièce qui a le prototype équipé d'un 3 cylindres .
Par contre lever les roues arrière c'était facile avec le Peugeot D4BD avec le diesel en porte à faux avant, à 60/70 je donnais un gros coup de frein et un coup de volant et le cul tournait autour des roues avant! Ou en weelhing en marche arrière, j'ai arrêté au bout de la casse de 3 cardans le grossiste ne voulait plus les prendre en garantie !

Hello, Jacky   

Je me fais souvent la même réflexion que toi en voyant les utilitaires/limousines d'aujourdhui qui nous auraient fait rêver à l'époque préhistorique héroïque des 70s.
Pas tant pour leur confort (quoique) que pour leur rapidité, permettant de passer moins de temps sur la route pour se rendre aux circuits. Comme on était souvent (tout le temps ?) en manque de sommeil, tout gain de temps sur le trajet était bon à prendre. Je suppose toutefois que le manque de sommeil chronique ne doit pas avoir fondamentalement changé pour ceux qui courent actuellement.
Un Fiat 238 chargé, c'était environ 120 compteur, en laissant une petite marge au moteur. Du Grand Tourisme par rapport à une 2cv camionnette, Estafette, D4B, Tube Citroen ou Super Goelette ... Sans compter que les pannes du "transporteur" n'étaient pas rares et que le premier challenge était ... d'arriver au circuit.
Arriver au circuit et en repartir, d'ailleurs. Je me souviens d'un retour Castellet/Paris en 238, effectué sur le 3ème rapport car le 4ème (boite 4) était cassé. C'était un problème courant sur ces modèles. A 70 maxi sur les nationales, le temps paraît tréééss long.      

Et pour finir avec les histoires de vieux, mon premier transporteur a été une Triumph Spitfire ... équipée d'un attelage maison pour tracter une remorque et la Ossa.

Le gros problème du Transit êtait  l' autonomie ridicule , avec des retours de nuit  plutôt tendus.
Par contre en été la porte conducteur coulissante , le pied!

(Carlo Abarth est né à Vienne)

JAKUTO a écrit:

Vous êtes des experts sur les Ford et Fiat 238 les gars
Oui bien sûr qu'il y a eu des Transit longs et courts, à roues jumelées arrière pour certains longs, avec hayon ou portes doubles arrière, avec porte coulissante conducteur même pour certains.
Moi j'ai eu celui dont je rêvais, un court Diesel avec la petite calandre sympa , les deux portes AR, qui avait bien du mal à tirer la vieille caravane Star, et surtout qui démarrait très difficilement car avec une seule bougie de préchauffage dans le conduit d'admission, il ne fallait surtout pas rater le bon moment.

On avait évoqué ici la mode du Transit à moteur Capri 6 cylindres, capot de diesel obligatoire dans le petit monde de la vitesse.
Ça n'améliorait pas le freinage   mais vitesse et accélérations.
Je revois la tête d'un possesseur de Simca 1000 rallye 2 quand passé le démarrage kif kif déjà étonnant, la question fut posée : " Maintenant on lui montre ?"
 

Sur le mien (model essence) le pote qui l'a récupéré (il est toujours chez lui) avait adapté une boite 5 certainement pour la conso.

Un transporteur assez génial que certains ici ont du utiliser. J'avais fait recarrosser mon break Citroen CX 2,5D avec un haut d'ambulance. De quoi se rendre sur les circuits dans le plus grand confort et à une vitesse de croisiere assez impressionnante pour l'epoque...Que ce soit sous la pluie glaciale de Magny-Cours,les ondées de Nogaro ou le chaud soleil de Pau-Arnos je n'ai jamais eté deçu par ce TGV! (Transporteur a Grande Vitesse)

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La DS (un peu plus longue à l'intérieur ?) fut encore plus répandue dans les parc, à juste titre.

Fügner a écrit:

La DS (un peu plus longue à l'intérieur ?) fut encore plus répandue dans les parc, à juste titre.

Et puis l'un des avantages du 50cc (en dehors du prix de revient, c'est qu'il n'y avait pas besoin de la surélever.

Le break citroen de Marsowsky
Une anecdote : Jules, alors sur l'île de Man, fit le pari avec ses amis Suisses de boucler le circuit de nuit avec sa DS à 160 km:h de moyenne (le fameux "ton") avec comme enjeu un bon repas à la clé....
La nuit venue, nos amis donnent le top et attendent le retour de Jules qui effectivement arrive dans les temps et gagne son pari.......et ses amis de s'exécuter
Aujourd'hui encore, l'un d'eux me confiait : "je pense que ce faux cul nous a bien bais..., il a du prendre le raccourci entre Curraghs Park et le Snaeffel !"........en tout cas, un bel exploit !

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Je peux me tromper mais pour les livraisons express la presse a utiliser des cx break six roues avec moteur GTI.
Les livraisons se faisaient très tôt le matin et sur autoroute, les moyennes êtaient parait il "impressionnantes".

Ils etaient pas un peu Belges les amis Suisses de Jules?  Je ne vois pas comment on peut réaliser un tour a 160 de moyenne avec une vitesse de pointe de 160 km/h!...C'est sur qu'il a mis un grand coup de volant a droite a Sulby ou mieux, il a du faire le tour de Douglas et s'est arreté fumer sa clope en attendant une vingtaine de minutes!

P.S:Pour Philippe "Cat"..Oui ,c'etait le carrossier "Tissier" qui faisait la modif de ces breaks.....

CX Tissier..Il y eut avant les DS Tissier....

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Tissier, Tissier, le père de .... ?   

 

Dans les années 65 / 70, sur la route pour Sarr-Brucken, ils ont déposé de la gomme.

""" pour les livraisons express la presse a utiliser des cx break six roues """"

Là, faut demander à Daniel Levieux, si il se souvient, ils y ont laissé quelques voitures.

Voila une CX Tissier de la presse...Tissier...Un nom qui nous parle!..Des fois ,trop..  

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Et une Jag pour emmenée la monoplace c'est pas mal!
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Photo Jean Dieuzaide, Albi 1967
(Pierre "PhilRead" Merci pour les précisions)

Superbe la série des CX...; ici en Allemagne de l'Est dans les années 50; la BM sur remorque et le Racer 500 a moteur flat twin BM aussi sans doute, seul choix possible a l'époque avec le flat twin Zundapp pour qui voulait motoriser son Racer avec un flat. (En Allemagne je précise)

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Source: Wolfgang Melenk

et aperçu au Mostra Scambio d' Imola en 2009 :

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